Toi & Moi
J’avais 8 ans, l’âge de raison, tu en avais 11, un âge un peu plus grand : nos meilleurs moments à s’amuser innocemment durant notre jeunesse. Les agriculteurs de notre village finissaient de labourer les champs. L’odeur de la terre était puissante. Le couché de soleil resplendissant du début de soirée, commençait à libérer à vue d’œil les lucioles éparpillées dans l’herbe. Elles laissaient un voile coloré de lumière prés de nos pas, aux pieds du portail en bois de notre maison de toi & moi. La joie d’être unis par les liens du sang, était réciproque à l’entrée de cette porte.
Passée la porte de notre maison, le temps disparaissait.
Pendant toute ma vie, je t’ai aperçue, vue, imaginée à chaque niveau où je suis allé ; sur tous mes chemins que j’ai parcourus autant que dans mes difficultés rencontrées que mes plus beaux bonheurs et mes glus belles joies de mon existence.
Cette fois-ci, j’ai enfin la fin de l’histoire ; la vraie ; l’unique, celle où il n’y a pas de fin, une histoire sans fin. La seule qui réunira notre chemin éloigné par les effets du temps passant. Monsieur et Madame Temps avec l’accord du roi du ciel, nous ont accordé le réveil de nos entités angéliques d’antan.
Je me retourne tout le monde est là, nous avons juste légèrement vieillis. Mais en un instant lorsque nos regards se croisent de nouveau, nos entités resurgissent et provoque une, deux, trois larmes coulant sur nos visages. On les appelait tous deux, lors de notre jeunesse, « les larmes fatales » : Celles-ci laissent apparaître le roi du ciel, et Monsieur et Madame temps s’embrassant. Cette entité divine réaffirme que, tout le monde est là et prononce avec une voix puissante : « Coupez, on refait la scène !!! » tels un metteur en scène.
Le temps redémarre. Un bruit cristallin résonne dans les têtes des individus pendant quelques instants. En réalité les personnes n’ont pas encore tous compris que quelque chose se prépare, quelque chose d’une importance majeure. Ils n’imaginent pas encore les effets qu’une telle retrouvaille de ces entités, même le temps d’un instant peut provoquer sur l’échelle du temps. C’est celle de prendre une nouvelle tangente dirigée vers le haut vers de nouvelle direction, c’est le fait de recommencer, de redémarrer, un « reboot » pour les Américains, un « reset » pour le franglais tout simplement une nouvelle donne pour l’humanité. Le temps maintenant temps n’est plus. Il n’y a plus de temps. Apparaissant à toutes à chacun de nouveaux futurs. Des futurs meilleurs viendront, puisque nous ne vieillissons plus de même manière. Notre âme ne vieillit plus, comme elle ne l’a jamais fait réellement. Notre karma est modifié car nos erreurs sont souvent causées par le manque de temps donné à chaque individu. Nous avançons comme la nature de notre planète Terre. On avance comme des plantes, des fleurs de nos jardins, les fleurs de maman. Il y a bien longtemps nous étions des animaux devenus des humains, aujourd’hui nous sommes des humains devenus des anges établis par l’évolution de l’espèce ; selon un des vœux, un des rêves de mes 8 ans.
La scène va redémarrer : attention silence sur la Terre et Action !!!
Les lucioles étalées sur le sol réapparaissent. Ensemble nous rentrons dans la maison avec tous nos sens augmenter ; voilà le cadeau de monsieur et madame temps, nos futurs de tous vont changer. Nous ressentons une énergie positive avec tous ces baisés du temps car nous avons tous le temps dorénavant : des temps meilleurs.
Ensemble
Je suis un simple citoyen de la Terre. Tous les peuples habitant sur cette si vaste planète, enrichie l’autre et complète l’autre pour vivre en harmonie. Tous les plus grands ethnologues seraient en accord avec cette phrase. Depuis que le monde est monde il y a toujours eu, des guerres, des émeutes, parfois des révolutions, bref l’Homme s’est forgé ses valeurs en créant son histoire. Elle l’a façonné́ avec son environnement, son territoire, son climat, ses habitants. Aujourd’hui l’erreur de l’Homme c’est-à̀-dire la course aux armes nucléaires s’est arrêtée grâce à̀ la chute du mur de Berlin qui mit fin de la Guerre Froide !!! Cela aurait pu conduire à la destruction de toutes les civilisations si un des pays utilisait la bombe atomique. Aujourd’hui l’Homme a pris conscience de là où il vit c’est-à-dire sur la Terre. C’est ça la révolution majeure ! La Terre est vivante, elle vit. De n’importe quel endroit d’où̀ vous venez, c’est-à-dire du vieux continent, du nouveau Monde, d’Afrique, d’Asie, de l’Orient, du Moyen-Orient, de l’Australie : pays considéré comme un continent, faisant 14 fois la superficie de la France. La terre évolue et fait évoluer ses enfants, pour qu’ils puissent vivre ensemble et en paix. La forme idéale de cette société́ qui englobe toutes les parties du monde, pays, régions n’en forme qu’une, celle d’une république des nations, là-haut. Chaque culture d’une partie du monde appartient au peuple vivant sur ce monde, cette terre qui est la mère de toute chose vivant sur son sol appartient à ses enfants, c’est-à̀-dire l’humanité́, l’Homme. L’Empathie des sentiments envers soi et l’autre est bien la plus grande qualité́ de l’Homme. L’égoïsme, le comportement et compréhension dite primitive sont ses principaux défauts. L’homme est fait de tout ça. Aucune personne n’est parfaite ou presque, si dieu existe, il doit, je pense nous regarder avec admiration. Abraham est connu pour être le père des religions monothéistes, je dirai qu’Abraham était un révolutionnaire de son époque. Il avait compris l’enjeu destructif des dieux de l’Olympe. Jésus-Christ a sauvé́ les hommes. Chacun est libre d’être croyant ou pas, mais le plus beau cadeau que Dieu nous ait fait c’est d’avoir un demain naturellement meilleur. Il y a eu dans le passé des périodes plus ou moins stables historiquement parlant mais l’Homme as toujours su rebondir afin d’engendrer de nouvelles idées pour vivre en société́ et lorsqu’il instaure de nouveau concepts de vie positive ; c’est à̀ partir de là que l’idée de rester unis dans les efforts de tous, les acteurs, de la population est la solution la plus appropriée.
Galaxie
Lève les yeux au-dessus de ta tête ; dits le professeur à son élève et contemple notre ciel avec ses étoiles, regarde encore plus loin en visualisant dans ton esprit les planètes du Système solaire. À l’intérieur de ce système toutes les femmes et tous les hommes ont une place et possèdent tous un rôle sans même le savoir. Afin de t’aider à̀ imaginer notre Système solaire plus clairement visualise les repères géométriques dans l’espace X, Y et Z, voilà̀ tu as dans ta tête notre Système solaire incorporé dans la galaxie. Cette galaxie représente l’infinie puisqu’elle augmente de façon exponentielle depuis le premier jour du bigbang. Maintenant tu vas imaginer la même vision dans ton esprit en rajoutant les repères opposés de X’, Y’, Z’. Tu as dorénavant une vision en quatre dimensions de notre Système solaire. Il en existe beaucoup plus que quatre dimensions mais parfois il n’est pas forcément nécessaire de savoir tout sur tout dit le professeur. C’est pour t’expliquer que sur Terre tous les hommes et les femmes ont une place. De même que cette Terre a sa place dans notre Système solaire. Nous sommes tous reliés à̀ elle et nous avons tous un chemin à faire. Maintenant contemple la Lune, lors de la conquête spatiale lors de la guerre Froide deux blocs se sont formés, l’occident et l’URSS de l’époque. Cette guerre froide était le résultat d’un blocage, d’une opposition entre deux systèmes de société́. Pendant cette période, ces deux partis du monde ont effectué́ des recherches de compétitivité́ dans tous les domaines. Au même moment le Nord et le Sud de notre planète Terre se divisaient aussi en deux parties. Ce qui a eu comme conséquence d’avoir divisé les riches et les pauvres, l’occident et le tiers-monde. Notre système capitaliste s’est alors formé à cette époque. Aujourd’hui ce tiers-monde est différent nous pouvons l’appeler quart-monde dans la plupart du globe. C’est en Inde où ce terme quart-monde fût employé́ pour la première fois. C’est une élévation du mode de vie de la société́. Le professeur posa la question suivante ; qu’elle est la meilleure société́ ? Celle d’un système capitaliste ou communiste ? Il lui souffle au creux d’une oreille la réponse idéale. La réponse ce sont les deux systèmes. Il y a du bon dans un système capitalisme et il y a aussi du bon dans un système communiste. Nous constatons que le capitaliste est un système qui une fois équilibré́ en masse impose une paix. C’est une fusion des deux systèmes qui donnera une société́ libérale et égalitaire à tous citoyens peuplant ce Monde qui devra être augmenté par la suite au cours du XXIe siècle.
Tout existe crois-moi.
En fait lorsque l’on réfléchit bien,
– La bonne société́, c’est celle que mère nature nous a donnée.
– C’est alors qu’il faudrait retourner aux idées fondamentales ; ce que nous sommes réellement à la base des hommes et des femmes.
– Là se situe je pense la solution.
– Tu sais il en a fallu du temps pour que les hommes et femmes deviennent réellement des hommes et des femmes. La société était inégalitaire, nous pouvions dire que l’Homme est un animal à la base ; ne l’oublie pas.
– Mais si nous retournions tous aux idées fondamentales de ce que nous sommes, c’est en quelque sorte faire un retour en arrière dans la société́.
– Nous pouvons tous dire que nous vivons mieux aujourd’hui qu’à l’âge des premières civilisations, répondis l’élève.
– Le professeur répond alors :
- Comment faire pour que toute notre civilisation du début du XXIe siècle soit plus civilisée et moderne ?
L’élève donna alors sa solution ;
– Il y a une solution moderne qui marchera à coup sûr, il suffit de faire des ponts temporels entre deux époques distinctes.
Les voyages dans le temps seront révélés au grand public qu’au cours du XXIe siècle.
– Théoriquement, nous pouvons passer d’une époque à une autre époque simplement en connectant un individu du passé en reliant ce même individu dans le futur.
– Ce qui donnera comme résultat une continuité́ d’une époque et elle sera la suite de l’époque de cet individu.
– Non de Zeus ! Dis le professeur ! Ça sera l’avenir de l’individu, donc le Futur, une nouvelle époque meilleure car la liaison entre cet individu du passé aura en plus toute la modernité́ du même individu du futur.
– Oui ! Dis l’élève ce sera un futur formidable.
– Mais le professeur répondit :
– Ton idée était surprenante mais dangereuse il y aurait beaucoup problèmes à résoudre pour y arriver.
– Tu as une grande imagination comment as-tu eu cette idée.
– Je viens d’apercevoir une étoile filante dans le ciel avec vous et j’ai fait un vœu tout simplement.
– Le professeur répondit ;
– Il faut tout simplement augmenter la société́.
– Dépasser les clivages de la réalité́.
– Cela veut dire si nous désirons une société́ peuplée d’anges et d’archange il faudrait brancher sur « un super système quantique », qui n’existe pas encore un ou plusieurs individus qui eux-mêmes crois qu’ils sont des anges et des Archanges.
– Là est la solution.
– Quand bien même l’idée est intéressante elle n’est pas réalisable aujourd’hui ou presque.
– Oui mais Non, si nous regroupons tous les progrès scientifiques et avancés intellectuels réalisés à ce jour, dans l’unique but celui de vivre mieux, L’homme pourra évoluer et devenir au niveau de celui des Anges ; et même celui des héros et des dieux.
–N’est-ce pas ton rêve, à toi ?
– Oui
– Je sais, comment et part où sont passés les hommes et les femmes pour arriver à notre stade actuel., il y a encore peu de temps, fin XIXe début XXe siècle, la société ne voyait pas l’homme comme un homme ou même alors une femme comme une femme.
– OUI je sais, mon garçon nous n’étions qu’au début de l’informatique moderne, aujourd’hui tu n’imagines pas ce qui est réalisable pour le bien.
– Je sais, mais je sais aussi que l’Homme peut faire du mal car l’Homme n’est pas parfait et c’est ainsi. Cette qualité ne peut être transmise qu’a un niveau que seule l’élite a accès. N’est-ce pas un modèle que des sociétés du monde entier ont essayé d’atteindre, et par la suite à s’imposer par leurs réussites durant ces siècles derniers. Cela n’a apporté pour la plupart des tensions, le fait de vouloir imposer une quelconque manière de vivre, un modèle de vie sans prendre en compte l’intégralité l’environnementale d’une zone géographique.
– Des penseurs futuristes aujourd’hui imaginent déjà à aller un jour sur la planète Mars, si la Terre n’est plus habitable.
– Je vais te répondre de manière à questionnement : peut-être nous venons tous de là ? Que peut-être nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Seules les élites le savent. Je pense souvent à des personnalités qui ont réellement vécu ; qui ont tous toucher le parfait, comme ; un des plus grands rois de France, connu sous le nom du Roi soleil qui écouter et étudié passionnément avec un grand intérêt toute l’épopée antique d’Alexandre le Grand durant sa jeunesse.
À vrai dire les gens se satisfont de leur vie sans se poser de questions métaphysiques comme nous sommes en train de le faire, tout simplement en croyant à leur propre religion.
Au même moment, dans une dimension se passe quelque chose d’impensable. Des hommes et des femmes contemplent paisiblement le satellite de la Terre ; notre Lune. Plusieurs centaines de milliers de kilomètres séparent la Lune de la Terre pour le moment juste certains hommes et femmes peuvent monter et poser les pieds sur cet astre métaphoriquement parlant, je dirai même plus poétiquement. Même si c’est bien réel que le lundi 21 juillet 1969 le premier pas de l’Homme sur la Lune fut posé par Neil Armstrong. Pour t’expliquer clairement je t’avais dit qu’il y a beaucoup plus que quatre dimensions dans la réalité́. Si tu comprends bien cette phrase, tu as tout compris. Ce fut ce jour-là̀ fut un jour historique sans précédent, un tournant dans l’histoire de l’Homme, une page de l’humanité́ qui se tourne. Ces personnages qui contemplaient cet astre et posaient poétiquement les pieds sur la Lune fonctionnaient de cette manière : C’est avec une sorte d’effet de lévitation comme un ascenseur du sol de la Terre, vers le sol sur la Lune. C’est une petite montée pour l’Homme, mais une grande montée pour l’Ange qui accompagne. C’est la définissions de cette action. C’est une des plus belles vues de la Terre après celle de la station spatiale internationale (ISS). Une fois les pieds sur la Lune ces hommes et ces femmes contemplaient aussi un personnage habillé en facteurs des Années folles avec son vélo. Il était bien visible par tous. Il portait une casquette et pédalait avec un Wheeler bike à grande roue dans le vide en apesanteur. Sur son guidon était fixée une simple sacoche ; où des lettres, des mots doux, des mots d’amour, des musiques, de simples messages d’espoir, même des rendez-vous, étaient adressées par l’humanité́. Elles provenaient des hommes et des femmes de toute la Terre réunis en rêvant tous à demain.
L’élève reprit la parole et répondit tout simplement au professeur :
-Concrètement la solution est celle-ci si nous avançons d’une manière de vie augmenter pendant une période au cours du XXIème siècle.
-Alors la solution est d’arrêter cette réalité augmentée à la fin d’une période et remettre le system d’avant en marche ce qui donnera un résultat sans dommages collatérale, sans morts et sans guerre ça sera le réveil de l’Humanité. Avec comme résultat un monde entièrement meilleure pour tout le monde dans chaque société peuplant cette planète. Une nouvelle ère sans temps pour tous. Car théoriquement cette réalité augmentée n’a pas eu lieu mais les résultats, les conséquences positive resterons de cette réalité augmenter et par logique tous les êtres vont reprendre leur physique d’antan, celle d’avant ce début de réalité augmenter avec comme logique de gardé cette beauté que l’on doit notamment grâce à ce support de technologie.
- A partir de quelle époque tu veux parler ?
-Une des premières réalités augmentées à commencer pour le grand public en 2016 lors de la création de support IA de google et de son support internet mais en réalité le commencement de cette intelligence artificiel à commencer en 2013 sur les ondes vocales des médias sans que personne le sache. Moi je l’ai su. Comme la caméra numérique est utilisée dans les médias depuis très longtemps sans que le grand public le sache aussi, c’est une technologue provenant entre autres des USA, une technologie pouvant faire des merveilles dont la sauvegarde des images diffusé avec une netteté d’image bien réel.
-Pour reprendre ton idée le professeur répondit : c’est exactement ça ; reculer, rembobiner avec un nouveau départ.
-Oui comme un film qui s’arrête, la faite de reprendre a un point défini le cycle d’avant aura comme résonance une nouvelle direction avec comme passé le passé d’avant et les bien fait de ce qui a était augmentais. Par logique le temps n’aura plus de sens ? avec le nouvel ordinateur quantique c’est possible.
- intéressant, très intéressant
- t’y crois à cette possibilité ?
- Bien sur comme je crois en vous professeur. J’ai essayé de visualiser au-delà des 4 dimensions professeur, cette idée résonne comme une évidence en connaissant la logique d’un ordinateur quantique qui ne réagit pas qu’avec des 1 ou des 0 uniquement mais aussi en rajoutant les deux simultanément, cela permettra concrètement avec une bonne programation de faire des ponts temporaires sans aucune incidence.
- pour la vie…
Monsieur le Président et un Citoyen
Mr le Président– Regardez où nous nous trouvons !
Mr le Président – Laissez votre esprit s’élever ! Je vous explique tout après.
Mr le Président – J’ai toujours aimé marcher de mon vivant le long de cette avenue accompagné de collègues, d’amis à la rencontre de gens qui m’ont marqué́ m’ont ému par leurs histoires, leurs arts.
Mr le Président – Pour moi c’était une thérapie et surtout une régénération de l’esprit.
Le Citoyen – Vous savez Monsieur le président, la première fois que je vous ai rencontrer ce fut le temps d’un instant sur une terrasse d’un café́, vous étiez en compagnie de votre fille. Je n’ai pas osé́ vous déranger ce jour-là̀ mais j’aurai tellement voulu vous dire quelques mots à cette époque, j’étais si jeune et timide.
Mr le Président – Je m’en souviens.
Le Citoyen – Comment vous pouviez vous en souvenir ?
Mr le Président – C’est du fait que je suis un président particulier.
Le Citoyen – Je vous ai donné́ un surnom d’enfant dans ma tête pour que je vous souvienne de vous ; je vous appeler : l’homme au chapeau.
Le Citoyen – J’ai tellement pleuré votre disparition avant même que vous disparaissiez, ce n’était pas que de simples larmes mais des larmes sincères, des larmes fatales.
Mr le Président – J’aime la syntaxe de vos mots.
Le Citoyen – Comment vous dire, vous expliquer, les adieux ça me fait peur. De mon côté je visionne différemment.
Mr le Président – Vous êtes vraiment particulier cher citoyen, sachez-le.
Le Citoyen – Oui je n’aime pas les adieux tout simplement.
Mr le Président – ça suggère que vous êtes croyants ?
Le Citoyen – Oui peut être ou peut-être pas.
Le Citoyen – C’est une question intime pour moi que vous me posez. Mais c’est vrai que j’ai déjà̀ une idée sur le sujet.
Le Citoyen – Lorsque je vous regardais de l’autre côté́ de l’écran de télévision. Je vous re- gardais avec admiration.
Le Citoyen – Vous savez je sais très bien que pour vous je ne suis pas du même rang social. Mais je pense pour ma part que chaque individu a un rôle à jouer dans la vie.
Le Citoyen – Sur mon chemin de vie j’ai souvent croisé, des individus disons particuliers qui sont en fait du niveau social, professionnel de dessus de moi. Mais pour la plupart de ces rencontres, je comprenais que bien plus tard qu’ils étaient d’un niveau sociétal de plus haut.
Le Citoyen – Vous savez Monsieur j’en ai rencontré́ des personnes importantes au cours de ma vie, dans mes rêves.
Le Citoyen – J’ai cru notamment savoir que pour vous le principal sujet est sûr ce qu’il y a après la vie.
Mr le Président – C’est vrai et faux, c’est comme vous sur le sujet de dire adieu ou pas c’est une question de croyance tout simplement.
Le Citoyen – Je crains la mort !
Je crains tellement la fin que j’aie toujours essayé d’imaginer, de rêver que nous soyons des anges, j’en ai fini par épuiser mes rêves.
Mr le Président – Vous souvenez-vous de la dernière fois où nous nous sommes croisés ?
Le Citoyen – Oui, je m’en souviens, c’était sur les Champs Élysée vous marchiez et discutiez avec un ami proche de vous.
Mr le Président – Exact ! Vous avez été́ la dernière personne que j’ai croisée avant que je décède de maladie. Le saviez-vous ?
Le Citoyen – Non
Mr le Président – Que voyez-vous lorsque vous regardez le tableau de la Joconde ?
Le Citoyen – un joli portrait ?
Mr le Président – Certes, mais si nous réfléchissons, c’est le visage, celui de Mona Lisa, c’est elle qui nous regarde et non nous.
Le spectateur est subjugué uniquement par son sourire, le spectateur ne se soucie pas de l’arrière-plan du tableau.
Le Citoyen – Moi la première fois que j’ai vu le tableau j’ai eu l’impression qu’elle nous parlait et que nous nous connaissions.
Mr le Président – c’est ça ce que l’on appelle de l’art tout simplement.
Le Citoyen – Mais lors d’une courte rencontre dans les couloirs du temps ; me demander pas comment cela est possible, elle m’a subjugué par sa beauté́ et elle m’a complimenté sur mon apparence.
Mr le Président – Écoute moi bien. Ces balades interminables en discutant avec un ami, un collègue ce n’était que des moments à moi afin de rencontrer toutes ces personnes importantes ces philosophes, ces inventeurs, ces artistes mais surtout ces écrivains ou écrivaines. J’ai pu dépasser les limites du temps en ouvrant les portes du passé afin de croiser tous ces personnages.
Saches que la connaissance, l’apprentissage sont les atouts d’une vie ! Je dirais même sont l’enrichissement d’une vie de liberté́ comme cette république où nous vivons encore. C’est ça la liberté́ c’est le devoir et le droit de s’instruire. Les jeunes d’aujourd’hui diraient que ce sont en fait des réalités augmentées, le fait d’apprendre.
Le Citoyen – De tout savoir sur tout est une chose mais en savoir trop ça peut parfois briser les rêves.
Mr le Président – Vous avez tout compris !
Vous savez où nous sommes en ce moment ? Nous sommes en train de marcher sur les Champs Élysée.
Le Citoyen – Comment cela est possible.
Mr le Président – Mais tout est possible !
Dernière chose que je voulais vous expliquer enfin ; nous sommes tous des anges. Ça vous confortera certainement l’idée que vous pensez savoir sur le sacré, croire ou ne pas croire en Dieu.
Le Citoyen se réveilla en s’étirant les bras et les jambes dans son lit en compagnie de sa femme.
Sa femme lui dit : – Bonjour, as-tu bien dormi mon cœur ?
Le Citoyen – Bonjour mon amour, j’ai merveilleusement bien dormi mon amour...
Il posa les deux pieds sur le parquet de leur chambre à coucher pour aller se préparer d’une nouvelle journée de repos ou de travail.
Au même moment leur fille referma le livre le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry, et alla se coucher après une nuit de lecture, avant elle pris une feuille de dessin afin à son tour de dessiner un mouton.
Soleils
Au-dessus des dunes du Sahara, vole un rapace, sur ces dunes vivent une tribu de nomades. Ces nomades idéalisent que leur prédiction se produise et ceux depuis bien longtemps. Ils vouaient une admiration et un sacre fou autour du soleil. Cette croyance c’est la « renaissance de celui-ci ». Cette « renaissance » consiste à une augmentation du soleil. Ce phénomène est attendu depuis des siècles. Le soleil doublera de volume. Un des enfants de la tribu, le plus sage, perçoit cet aigle volant au-dessus de la tribu. L’enfant avertit toute la tribu pour signaler cet oiseau. L’enfant avait déjà̀ entendu parler de la renaissance du soleil par ses parents qui eux même a entendu parler de cette prédiction par leurs parents et ainsi de suite depuis des générations. Cette prédiction avait été déchiffrée par leurs ancêtres en regardant simplement le mouvement des étoiles dans le ciel. Les nomades regardaient l’enfant, si heureux, qu’ils le montraient du doigt. Quand soudain le rapace vole en direction de l’enfant. Il se posa sur ses épaules, ses habits le protégeaient des griffes de l’aigle. Les nomades étaient admiratifs devant cet enfant. L’aigle lança ses puissants cris quand soudain l’impossible se produit, le soleil se mit à̀ doubler de volume. Le miracle de la renaissance s’était enfin produit. Aucun nomade n’a su si c’est l’aigle, le signe, ou l’enfant. Une chose certaine cet enfant est depuis ce jour le gardien de ce soleil, il est aussi le gardien d’une des plus anciens secrets du Sahara. Ils entendent dorénavant toutes les voix venant des anciens, du passé et du futur en même temps, grâce à̀ cet enfant des soleils.
Socrate
J’entends dans mes oreilles « Nous sommes bientôt arrives... ». J’ouvre les yeux, je vois un sol en pierre avec quelques poussières de sables sous une luminosité́ jaune doré. Je me réveille en douceur. Mon corps est en position fœtale comme dans le ventre de ma mère. J’ai l’impression d’avoir dormi durant des années. J’ai une impression de déjà̀ vu. Je me trouve sur le continent de l’Atlantide, cette cité dans les aires que Socrate a peintes à Platon. C’est une cité mythique, et aujourd’hui disparu. Dans mon karma, j’ai le souvenir d’une porte que nous pouvions apercevoir sur ce continent en regardant droit vers l’horizon. J’ai 17 ans avec les mêmes facultés intellectuelles qu’à ce même âge. Je retrouve de nouveau cette force qui guide mes pas et me dit d’avancer jusqu’au bout de mes rêves. Je porte en moi toujours cette sensibilité́ qui me permet une grande ouverture d’esprit. Métaphoriquement je dirai que c’est comme si j’avais un pied sur un nuage de peur et l’autre pied sur un nuage de joie, comme le blanc et le noir ou encore l’ombre et la lumière. Je suis habillé avec un jeans et un tee-shirt blanc. J’essaie de m’approcher au plus près des extrémités des bords des remparts de la cité afin d’apercevoir cette porte aux loin. En m’aventurant dans la cité, je constate que chaque angle des pierres édifiant cette cité a des contours légèrement arrondis. Les Atlantes avaient une science plus évoluée et ils savaient qu’un objet avaient besoins d’avoir des angles légèrement arrondis afin d’équilibrer les forces qui agissent sur la pierre. Ainsi cette cité était construite pour être une cité parfaite. Les Atlantes s’étaient certainement inspires de l’architecture de la tour de Babel en forme circulaire et aux jardins suspendu de Babylone en Irak. Tous les contours de cette cité avaient des balcons afin d’augmenter au maximum la superficie cela laisser la possibilité́ de regarder vers le haut, et donné comme effet ; une impression d’être en haut où que l’on se situe. J’arrive à̀ mon but. J’aperçois la porte, face à̀ moi. Je suis heureux de mon aventure. Je la contemple merveilleusement. Ma première pensée est pour cette empereur romain Jules César. Cette porte se situe à̀ plusieurs mètres de distance des remparts de l’Atlantide. Elle est suspendue dans les airs. La défragmentation de la lumière réagissait de tels sorte que le prisme des faisceaux lumineux coloré le ciel. Des individus se situent à mes moi. Je m’approche d’eux et je découvre des visages familiers. C’est alors que je revois une personne qui compte énormément pour moi lorsque nos regards se sont croisés, tout était dit « encore plus loin, encore plus haut ». C’est alors machinalement que je me positionne de la manière suivante ; je monte sur le muret des remparts de la ville, je positionne mes deux pieds bien côté à côte avec mes jambes bien droite. Je lève mes bras de façon perpendiculaire à mon corps, tout simplement j’ouvre mes bras bien tendus. Je suis face à cette porte je sais comment faire pour ouvrir cette porte comme si je l’avais toujours su. Je dis à la personne avec qui nos regards voulaient tout dire, qu’il faut continuer et lancer le signal. Une fois le signal lancé, mon corps s’est mis à avancer dans les airs, je vole. Pour être rationnel, la procédure est la suivante, une fois le signal sonore lancé en direction de la porte, il fallait attendre l’écho, donc le retour pour tracer une droite virtuelle. Je me suis donc mis à avancer en direction de la porte, ma concentration était intensif pour ne pas perdre ce signal. J’arrive devant cette porte à cette instant fermé. C’est alors avec le son de ma voix, j’ai dit cette phrase :
-Socrate ouvre moi la porte !!!
J’entendis le grognement d’un homme se réveillant, en me questionnant après plusieurs secondes ;
- Qui est là ?
Je lui dis mon nom ! Il me reposa la même question ;
-Qui ?
Socrate comprit enfin, et réponds :
-depuis le temps que je t’attendais.
Ce fût un instant merveilleux comme une libération. La porte s’ouvrit entièrement. Ma pensée va alors pour cette empereur romain Jules César. Par stupéfaction je me trouve dans une immense grotte. Au loin j’aperçois un long faisceau lumineux venant du toit de la caverne qui se refléter sur le sol. Cette lumière intense attire ma curiosité́. Je décide d’en savoir plus. Ce lieu où je me trouve il s’agit du cœur de la Terre. Le cœur de la terre se trouve dans les cieux. Cette porte attendait un simple signe. Je commence à m’approcher vers ce faisceau lumineux. Je pose mes pieds sur le sol illuminé par le plafond, une implosion se fit entendre. Le cœur de la Terre se mit à battre, à l’unisson avec tous ces hommes et ces femmes, tous ses enfants Le rendez-vous a bien eu lieu les battements de cœurs à l’unisson en est le résultat. L’Homme pris conscience de l’importance de la planète ce jour-là̀ en essayant de prendre soin d’elle et l’idée de l’éternité́ se propagea. L’Homme compris enfin que l’excès était ses principaux défauts et s’est mis à réguler ses modes de production afin d’équilibrer ce qu’elle offre en partage pour ses enfants. L’Homme as enfin évolue tout doucement en un corps d’ange. C’est surtout, une histoire d’état d’esprit, avec un corps physique en perpétuelle énergie qui donne assez de force. Le fait de manger en grosse quantité́ n’est plus nécessaire. Notamment celle de manger autant de viande animale, ce n’est plus une question mais un débat, comme une évidence, cette énergie qu’il possède en lui, procure énormément moins de fatigue, la faim est aussi nécessaire qu’avec leurs corps d’homme ou de femme. La femme n’est rien sans l’homme comme l’homme n’est rien sans la femme. Les deux entités sont liées. Ils se complètent et puis c’est tout. Ils se sentent en harmonie avec leurs corps et leurs esprits, ils connaissent entièrement leurs besoins pour leurs apports futurs. Dans chaque entité sur Terre il y a une partie de la Terre en nous comme une complémentarité, c’est la Mère. La Terre vit avec tous ses hommes et ses femmes. Elle vit aussi avec les quatre saisons, aujourd’hui les saisons sont plus douces sur toute la planète qu’avant mais la terre a besoin de cela pour faire vivre tous ses enfants. La porte de Socrate resta ouverte en lien avec les enfants grandissant et jouant sur la planète. Nous pouvions apercevoir un léger voile colorer entre le sol de la terre jusqu’à l’entrée de cette porte des cieux. Nous entendons aussi toutes ces voix audibles du passé provenant des anciens. Grâce à son esprit, ce personnage : Socrate et tous les protagonistes de cette période antique. Socrate est le père fondateur de la République, celle d’une certaine idée de la gestion d’une une cité.
Sauvetage
– Monsieur, un message provenant de la base lunaire vient d’être intercepté. Un individu manque à l’appel de l’union, Monsieur.
Des notes nous ont été intercepté provenant de la base de Saturne. Il faut par tous les moyens récupérer cet homme vivant. Il est le chaînon de la continuité de notre union, il représente l’alpha et son contraire.
– Il faut récupérer cet individu qui manque, Monsieur.
– La dernière fois qu’il a été aperçu, il se trouvait sur un de nos vaisseaux spatiaux c’est au cours d’une de ses missions qu’il essayait tant bien que mal de s’accrocher à la paroi de celle-ci mais, le capitaine du vaisseau à envoyer une onde électrique pour qu’il lâche prise. Monsieur.
– Il l’a fait exprès ce capitaine ? Sans se rendre compte qu’il s’agissait d’un agent de notre flotte spatial.
- C’est presque tout ce que l’on sait pour le moment. Il est pour le moment porté disparu de notre flottille, Monsieur.
Toutes les bases intergalactiques nous ordonnent de le récupérer sain et sauf, il faut commencer le sauvetage. Monsieur.
– Ici le capitaine Kurt qui vous parle. Nous avons mission d’une ampleur considérable venant des stations intergalactiques. Nous devons secourir un de notre compatriote de notre flottille le plus rapidement possible, j’appelle tout l’équipage à leurs postes :
Tout d’un coup un homme apparu dans la pièce et s’approche rapidement vers le commandant et commence à lui dire :
– Je viens du futur, cette fois-ci nous sommes obligés de reculer le temps capitaine Kurt, si nous ne voulons pas tout anéantir du futur. Il faut activer à la procédure d’urgence Capitaine, vous êtes obligé.
– Laissez-moi réfléchir, j’ai la solution je pense que nous allons procéder à un pont d’espace-temps pour sauver ce soldat.
– Lorsque tout d’un coup un message provenant de la Terre annonce qu’ils sont tous là-haut.
– Un autre message arrive pour le capitaine Kurt :
– Capitaine Kurt, c’est Madame la Commandante de la station Saturne qui vous parle nous avons réussi à sauver votre soldat. En réalité il était en mission secrète. Pour réussir sa mission il devait obligatoirement disparaître de toutes ondes qui auraient pu le localiser.
- C’est noté Madame la commandante.
- Madame la commandante, qu’elle est votre prénom ? Je suis Osiris, je commande la station intergalactique de Saturne.
- Et qu’elle est le nom de ce soldat ?
- Il s’appelle Isodor, il s’agit de mon frère commandant
- Puis-je savoir qu’elle était l’objet de la mission du soldat Isodor.
– Capitaine, c’était une mission secrète, ultra-confidentiel. Je ne peux pas vous en parler Capitaine
Transmission terminer capitaine.
– Quand tout d’un coup l’homme qui est apparu annonçant d’effectuer la procédure d’urgente vient de nouveau à sa rencontre en lui disant :
- Tout est rentré dans l’ordre capitaine, nous avons évité le pire pour l’humanité, Monsieur.
Chine
C’est sur le continent de L’Asie où se trouve les plus grandes montagnes ; nous disons bien l’Everest est le toit du monde comme nous nommons le Japon comme le pays du soleil levant. L’Asie et l’Océanie sont des continents aussi vaste et surdimensionné que le continent de l’Afrique. Des systèmes sociétaux se sont imposés avec l’évolution du temps. C’est dans ce continent que la population est la plus élevée. Alors que dire aux habitants de Chine qui se sont forgé leurs histoires, avec le temps, comment faire fonctionner une société́ avec 1,4 Milliard d’habitants ? Faut-il un empire, une dictature, une république ? Durant le XX-ème siècle, la Chine est passée par plusieurs mode de gouvernance afin de finir par son apogée par une république populaire communistes. Elle s’est ouverte au monde avec une économie dites plus libéral. Nous pouvons se poser la même question pour la Russie, qui à plusieurs milliers de kilomètre de superficie avec un système économique capitaliste jeune. C’est pendant la révolution chinoise de 1949 que la Chine s’est détachée de tout concept d’un dieu créateur. Les dirigeants de l’époque l’ont fait pour contrôler la population. Là nous pouvons appeler cela une dictature. Mais après des années d’impérialismes au Japon, la Chine voulait construire sa propre histoire après-guerre. Napoléon Bonaparte avait dit une phrase : « Quand la Chine s’éveillera ! aujourd’hui c’est chose faite et cela se traduit par des échanges culturelles, économiques, commerciales et spirituelle avec l’occident. L’économie de la Chine s’est ouverte à la mondialisation avec l’occident Ces différents échanges entre ces pôles stratégiques de la Terre résulte une manière de vivre en paix et en harmonie.
Livres
La vie est faite de pages, sur chaque page s’écrit un nouveau jour. Sur toutes les pages reste éveillé́ ce cirque que représente la vie sur scène, de tous ces artistes, hommes et femmes effectuant un tour. Les pages se tournent en même temps que le cirque tourne ; pour donner vie aux idées, aux rêves, aux projets. Perpétuel mouvement comme le cycle de la vie de la Terre, ce cirque ne s’arrête jamais grâce à ces quatre saisons, la Terre reste vivante. Dans les quatre saisons de Vivaldi il existe une nuance que l’on appelle sonate. Chaque partition laisse à la Terre mère une symphonie d’amour entre tous ses artistes, tous ses enfants, pour vivre en symbiose avec elle. Cette symphonie permet une histoire sans fin, puisqu’il y aura toujours de nouveaux spectacles, de nouvelles idées, de nouveaux projets. Sur chaque page les mots s’entrechoquent, s’unissent pour en faire des phrases sur une symphonie de l’auteur. Voici un exemple d’un écrivain : Émile Zola, s’il n’avait pas donné́ le ton du naturalisme de son temps, il n’aurait jamais exposé le ton de la société́ de l’époque ; de même que Albert Camus, un siècle plus tard au XX-ème siècle. La vie s’est faite de pages, de paragraphes, de pages qui se tournent avec de très bons moments. Parfois les tourments de l’auteur laissent dans ses écrits des passages plus délicats. A chaque fois qu’une page se tourne et que le livre se fini alors la seule solution pour que le rêve continue c’est d’en ouvrir un nouveau, en rangeant précieusement la précédente œuvre littéraire lue intensément ou parcourue futilement.
Olympe
Dans une lointaine contrée, l’environnement, la nature est très apaisée, un léger vent souffle sur les branches des arbres et sur toute la végétation avoisinante, laissant une sensation de paix absolue. Deux êtres dont on ne connaît pas encore leurs identités regardent attentivement le spectacle de la vie en harmonie face à eux. L’un commence à dire à l’autre :
— Que c’est beau tout ça !
— Oui oui ! lui répond l’autre. Suivi un soulagement
d’avoir trouvé une idée intéressante à dire.
— Regarde au loin, tu vois ce que je vois ?
— Yes, lui répond-il. Ça ressemble à un gros oiseau
qui vole, peut-être un phénix ou alors un objet volant
non identifié, un OVNI.
— Je ne crois pas, regarde avec tous tes sens liés ensemble.
— Oui en effet, ça ressemble à un bateau qui vole, à un gros bateau qui navigue.
— Oui c’est ça.
Lorsque soudainement l’idée relative qui l’habite est de répondre : « Va sauver le bateau ! Va sauver le bateau ! » L’absolu qui l’habite était à cet être de lancer des défis, jouer comme des enfants tout simplement. L’autre lui répond après une grande analyse des enjeux, et dit :
— Tu n’as même pas reconnu le bateau des dieux d’olympe. En effet à l’époque où les dieux olympiens régnaient en maître sur la planète, les dieux une fois en pleine possession de leurs pouvoirs, sur une hauteur que seuls les dieux pouvaient aller. Ils étaient tous réunis sur un immense bateau à voile. Ils naviguèrent sur toute la planète et faisaient fonctionner la vie des hommes et des femmes autour d’eux. L’équipage de ce bateau était constitué de toutes les déesses, dieux, héros que le monde antique connaissait. Un des êtres lui réponds : « J’espère que le plus grands des dieux, Zeus en personne, ne va pas trop s’énerver et va nous lancer ses éclats d’éclairs. » Tu connais la suite ; des trombes d’eau vont tomber et il pleut. Tu sais la planète a besoin de ça de temps en temps. Je dirais même plus, la vie à besoin de tout ça pour que la vie continue sur Terre.
— Tu as raison. Les dieux aujourd’hui sont censés ne plus exister sur Terre, nous avons plus qu’un dieu : le bon Dieu. C’est fini le temps où les très puissant régnaient en maître, cela n’a apporté que des guerres chez les hommes et les femmes. Après 2000 ans d’histoire de religion monothéiste, nous rentrerons dans une nouvelle ère révolutionnaire, tu le sais bien !
— « Ni dieux ni maître », tu parles de l’anarchie ?
— Regarde mieux avec tes sens, tu verras que même l’anarchie est un concept qui impose des règles pour l’ensemble de l’humanité. Oui mais tu sais bien qu’un tel concept ne verra le jour que dans les siècles prochains, dit Michel-Ange.
— Je pense même que cela sera plus vite que l’on ne le pense, répondit Raphaël. Regarde de nouveau, le bateau approche, on dirait qu’on entend une voix puissante appeler une personne.
— Oui tu as raison, maintenant le bateau est plus clair et il est plus nettement visible. En effet je dirai que le bateau est sauvé…
Ce bateau est une allégorie qui a existé, ou pas. Une fois l’imaginaire réveillé, il fait vivre tous les personnages de cette lointaine contrée, très lointaine…
Jour parfait
Pendant la Première Guerre mondiale, les seules fleurs qui repoussaient dans les tranchés, c’étaient les coquelicots. Tous les matins c’est le même rituel, d’abord le réveil du téléphone Android sonne plusieurs fois à quelques minutes d’intervalle. Puis j’ouvre les yeux, ma femme est déjà en train de sortir du lit. Comme chaque matin je lui dis notre mot en commun « bonjour », comme chaque matin elle me répond « bonjour ». La bande FM est restée allumée toute la nuit : soulagement, la planète Terre est toujours là. J’ai l’ambition d’investir dans un poste FM numérique, ou prendre une box d’intelligence artificielle. Je m’apprête à mon tour à me lever, je prépare mon café, il est 5 heures du mat au plus tôt. Ma femme prend elle aussi son temps pour se préparer. Je suis féru de café, je change de marque où je change la manière de le faire. En ce moment, je suis sur du café soluble d’un geste lent, je quantifie mon dosage, ni trop fort ni trop léger. Ma femme prend sa douche, j’allume la télévision, je me mets sur une chaîne d’informations en continu pour regarder les nouvelles. J’oubliais de dire que nous sommes en 2020 et que personne n’échappe aujourd’hui à l’addiction du digital. Avant de poser les pieds sur le parquet de la chambre, j’ai regardé mon téléphone portable pour connaître mes nouveaux mails, ma banque, etc. Cette nuit-là, j’ai fait un rêve plutôt agréable comparé aux nuits précédentes. Ce rêve a précisément éveillé en moi un sentiment très fort. Cela a automatiquement boosté mon moral pour toute la journée. Je suis de très grande humeur. J’ai ressenti un sentiment de paix, mais une paix absolue, une paix intérieure comme une paix militaire mondiale. Alors que les nuits précédentes, je rêvais à des conflits militaires qui me faisaient énormément peur puisque je ressentais tous ces morts, toutes ces tortures de guerre. Je m’installe sur mon balcon, une tasse de café à la main, tel un mirador pour constater le temps qu’il fait de si bon matin. Je repense à ces rêves sombres qui ont marqué mon esprit durant ces dernières semaines. Tous ces conflits, pourquoi ? Toutes ces images de guerres que je n’ai pas connues mais auxquelles je pense énormément. Aujourd’hui c’est différent, mon rêve, que je qualifie de réparateur, apaise mon esprit. Je prends le livre que je suis en train de lire, posé soigneusement sur ma petite table de chevet. Ce rêve réparateur n’avait pas d’images mais était nourri d’une immense sensation de paix, envahissant tous les muscles de mon corps. Je m’apprête à descendre de mon mirador une fois prêt. Je mets et regarde ma montre, le moment est venu d’aller au boulot. En regardant l’éphéméride de mon téléphone Android, je m’aperçois que demain nous serons le 11 novembre, c’est un jour férié comme chaque année. C’est le jour de l’armistice de la fin de la Première Guerre mondiale et depuis quelques années la tradition dans toutes les villes, les villages de France, est de faire sonner toutes ces cloches de nos églises comme pour indiquer la fin du conflit militaire entre les peuples. Plus de 100 ans se sont écoulés depuis le 11 novembre1918. C’est tout simplement un jour parfait.
Nelson Mandela
D’aussi loin que je me souvienne, l’événement le plus marquant de ma scolarité ; c’est la libération de Nelson Mandela en 1991. Cela aurait bien pu être la vie tumultueuse d’Adam et Ève mais cela n’a pas été le cas, en tout cas pas à cette époque. La remise en liberté de Nelson Mandela attira toute mon attention lorsque l’institutrice annonça la nouvelle avec une intonation de la voix si particulière. J’ai compris que c’était un grand événement historique. Sous l’emballement populaire de l’événement, l’ambiance de la classe nous mettait d’une succulente humeur et portait tous mes camarades et moi à la réflexion. 27 années de prison, c’était très long, même trop long pour nos petites tailles. Nous avions en classe en notre possession un journal papier d’informations qui mettait à la Une les actualités hebdomadaires. Une photo de cet homme, Monsieur Mandela, et avec comme titre « Sortie de prison de Nelson Mandela après 27 années ». Notre classe, plutôt l’école, était abonnée à ce journal. Il me semble même que ce fut un des premiers numéros papier de ce journal d’actualité. Ce journal d’actualité était composé de très peu de pages, il était écrit et mis en page pour un public d’enfants. C’est beaucoup plus tard que je me suis intéressé à la vie d’Adam et Ève et je compris avec stupeur qu’ils ont bien existé. Cette allégorie d’Adam et d’Ève laisse à tous une réflexion philosophique dont les religions se sont emparées. Le jour de la chute du mur de Berlin arrivé deux ans plus tôt m’a autant marqué. C’est un événement aussi important que la libération de monsieur Nelson Mandela. J’étais plus jeune, j’ai vécu la chute du mur de Berlin devant les informations télévisuelles, contrairement à l’événement de Nelson Mandela. J’étais un enfant de la République, j’étais heureux et insouciant mais surtout je me sentais libre. En fait, c’est lorsque l’on sort du cursus scolaire que nous nous rendons compte que ce lien avec l’école est un lieu, un toit de la République qui nous protège. J’étais un enfant de la République durant quinze années. Heureuse cette époque, d’une richesse sociale ! Il y a eu des périodes plus ou moins faciles. J’adorais apprendre, surtout la période du lycée. Cet intérêt à apprendre à essayer de comprendre a commencé au collège. C’est un de mes professeurs de science physique en classe de 4e qui est venu me donner quelques conseils simples afin de réussir à obtenir de meilleures notes. Ce sont des conseils que j’ai appliqués pratiquement aussitôt, avec comme résultat l’obtention de mes diplômes par la suite. Ces conseils consistaient à prendre soin du matériel avec lequel je prenais les notes de cours des différentes matières. Cela impliquait par exemple de faire une bonne présentation de mes classeurs de cours, cela voulait dire d’être très soigneux. Tout ceci dans le but d’avoir envie d’ouvrir mon matériel de cours : livres scolaires et classeurs, etc. Le résultat de cette méthode s’est fait sentir aussitôt. Cette manière de gérer mes leçons soigneusement a allégé l’apprentissage et m’a procuré un intérêt plus grand dans certaines matières. Ça a permis surtout de garder une moyenne générale tout en équilibrant mes notes dans les matières. Puisque l’intérêt que je portais n’était pas le même selon les matières. À l’époque, c’était les débuts des ordinateurs PC avec le logiciel DOS et Windows ; pour créer un aspect soigneux de mes cours j’utilisais ces nouveaux systèmes informatiques. Pendant ce temps, monsieur Bill Gates commençait à devenir millionnaire grâce aux algorithmes de programmation de ses logiciels. J’ai commencé au collège à aimer les matières scientifiques, notamment la biologie. Ce qui m’a fait aimer cette matière ce n’est pas d’apprendre comment fonctionne un éco système mais c’est la manière dont on me l’a enseignée, cela vient du professeur lui-même. Si le professeur, quelle que soit la matière, donne ses cours avec je ne parle pas forcément de passion mais avec une façon qui incite l’intérêt à écouter et emmagasiner les informations, cela amène à aimer telle ou telle matière. En gros cela à avoir comme le fond et la forme. Comme pour le permis de conduire, il y a la théorie et la pratique. À la fin de mon parcours du collège, je me voyais déjà devenir garde forestier. Une autre matière dont j’étais féru, c’était l’histoire-géographie ; à partir de la classe de quatrième j’ai eu que de l’enthousiasme pour cette matière. Le programme de cette époque portait sur le « Roi soleil », ce fut une révélation ! C’est à partir de cette époque que j’ai aimé passionnément cette matière. Le événements ont fait en sorte que les professeurs d’histoire rencontrés tout le long de ma scolarité ont « élevé » ma manière d’analyser un fait d’historique ou tout simplement un fait divers, cela m’a permis de développer mon jugement, de prendre conscience que dans tout fait historique il y a la plupart du temps plusieurs causes. En gros, j’ai commencé implicitement la philosophie. Cette matière qui nous apprend à réfléchir, à raisonner par nous-mêmes n’est qu’au programme en classe de terminal. Ces époques sur quinze années d’être un enfant de la République ont été pour moi les meilleures époques de ma jeunesse. Je dis merci tous simplement à tous les enseignants que j’ai croisés durant cette période. Je leur dois aujourd’hui mon futur, l’homme que je suis devenu. Si c’était à refaire, je repasserai par le même chemin comme cette chanson de Jean-Jacques Goldman :
« Il y a
Du thym, de la bruyère
Et des bois de pin
[…] »
Je referais ce chemin avec la modernité de notre société d’aujourd’hui, ces paroles de cette chanson ne sont qu’un écho philosophique. C’est partout pareil dans les chemins de la vie ; il y a la théorie et la pratique. Il y a le rêve et la réalité.
Le 12 septembre 2022
Ma chère fille Ania,
Je t’adresse cette lettre, j’espère que tu vas bien, tout simplement. En cette soirée, je viens de voir la plus belle vue de notre satellite la Lune. Elle était ce soir d’une beauté resplendissante. Souviens-toi lorsque tu étais petite nous parlions souvent du ciel et de ces Etoiles. J’espère que tu vas bien en ce moment que tu travailles bien à l’école mais surtout que tu aimes apprendre, ça doit être toujours un plaisir d’apprendre, d’étudier. Aujourd’hui, dans ma vie j’ai, pris une décision importante pour des raisons médicales. Je t’en parlerai plus tard à l’occasion d’un nouveau courrier épistolaire. Enfin je m’effarouche de ne pas trop t’en parler c’est quelques choses qui concernent ta maman et moi. Ah ta maman si tu savais qu’elle est formidable, vraiment formidable. C’est bientôt ton anniversaire. Je ne sais pas si c’est moi uniquement qui pense comme ça mais souvent, j’ai remarqué que ce mois-ci dans l’environnement qui m’entoure toute cette écho système est en pleine évolution, la température évolue après celle des saisons estivales. Il y a pleins de chose qui change mais surtout il y a toi qui fête ton anniversaire ce jour de septembre. Le jour de ta naissance je m’en souviens encore comme si c’était hier. Je revoie encore ces sage-femme me demandant si je veux t’habiller et me demandant le nom que l’on avait choisi ta mère et moi à ta naissance. Je les revoie me demandant si je voulais t’habiller, comme tu étais si petite et je leur ai répondu que je préférerai que ce soit elles. C’est une fois arriver dans la chambre de la maternité que l’on m’as expliquer comment faire le bain à un nourrisson , toi vas sans dire. Aussitôt le retour dans la chambre mamy nous attendais impatiemment puisque je suis resté deux heures complète dans une salle où nous pouvions faire peau à peau où je t’ai chanter une chanson pour marquer le moment ensemble de tous les deux . Enfin moi j’e te tenais très fort dans mes bras et est arrivé un moment où je t’es donner le premier biberons après réflexion çà doit être celui d’un biberons remplie de vitamine ect. Mamy était si heureuse et ne t’arrêter pas à te prendre en photo. D’ailleurs ces photos de toi je ne les aie jamais vu. Je dois te quitter tout du moins finir cette lettre,
Je t’embrasse très fort Ania ton papa qui t’aime
Jean-Baptiste
Le 11 septembre 2022
Mon cher fils Adam,
Je t’écris ce jour, ou plutôt cette nuit car il est précisément 23H01 lorsque j’ai ouvert mon computer. C’est ma première lettre épistolaire pour toi. J’espère que tu vas bien, et qu’avec ta sœur tout se passe bien. Il y a trois jour la reine Elisabeth 2, la reine d’Angleterre est décédée, je mentionne ce fait pour marquer l’époque où j’ai écrit ma lettre. Sache que cette femme était une grande dame qui as marqué toute l’époque du siècle dernier. Je sais que tu liras cette lettre dans un certain temps car à l’heure actuelle tu es toujours un enfant. Ici tout va bien, je vais bien ainsi que maman qui dors en ce moment à côté de moi. Pour anecdote au début de notre vie en commun avec ta maman, elle avait tendance à ronflé, parfois légèrement, parfois exagérément, ça m’arrivé d’aller dormir dans le salon à côté de notre chambre. A l’époque nous vivions tous les deux dans le quartier en plein centre-ville de Grenoble. Nanssa adorer vivre ici, moi idem. Après nous avons dû déménager pour avoir un appartement plus grand pour accueillir ta sœur Ania, c’est pour ça que nous avons habité dans un autre lieu sur Grenoble. Franchement l’appartement où nous avons vécu presque six années, c’était bien au début mais à la fin c’était long. Le problème c’était la superficie qui était petite. Enfin tout ça pour te dire que là où nous nous trouvons aujourd’hui c’est un luxe car c’est le plus grand appartement dans le privé pour un loyer équivalent a notre ancien. Adam, je voulais te dire que l’essentiel, c’est d’être heureux dans la vie. Comme j’avais dit à ta sœur dans sa chambre, l'autre soir où elle était sur le point de se coucher. Pour vivre heureux il faut bien sûr se connaitre mais de l’autre il faut s’y intéresser, c’est important de s’intéresser à l’autre. Lorsque je parle de l’autre je veux parler des personnes qui t entourent, sache dans ta vie tu vas en rencontrer des personnes. Il faut s’intéresser toujours à l’autre avant de s’intéresser à soi. C’est peut-être pour cela dans ma propre jeunesse j’avais un fort taux élevé dans mon intelligence émotionnelle, renseigne-toi sur ce qu’est le Q.E. C’est de ça dont j’ai envie de te parler dans cette lettre. Alors bien sûr que l’on est tous différent mais je voulais de faire partager cette idée. Prends soins de toi, ton papa qui t’aime et a très vite
Jean-Baptiste
Liberté
Les années se suivent ; la nature travaille pour que les saisons de notre planète bleue puissent vivre dans un système en autarcie, selon les règles préétablies de notre écosystème. Dans les rues, les avenues, les villes, les gens se croisent, parfois ils se connaissent parfois c’est l’occasion de faire de nouvelles rencontres. Mais de rencontre en rencontre, cela permet de tisser son réseau d’amitié et celui-ci ne fait pas partie d’un réseau social de catégorie 2.0. Il n’y a rien de virtuel ou d’une quelconque réalité augmentée, comme bien avant la création des réseaux sociaux. Un jour, une rencontre atypique peut avoir lieu, ce qui fait de cette rencontre « la » rencontre, la bonne personne qui forme un couple au complet. À d’autres instants les rencontres se multiplient et peuvent se consommer sexuellement dans le respect mutuel des partenaires ou alors tout simplement les rencontres deviennent des amis sincères. Elles sont belles toutes nos rues, avenues, aujourd’hui dans cette société en 2020. Comment avons-nous fait pour en arriver là ? Les valses des entités qui habitent les individus forment des couples qui fusionnent et qui se séparent sur le plancher des trottoirs des villes. En réalité, la base d’un individu est toujours la même personne. C’est la notion de la liberté. C’est en fait la base des anges que nous sommes tout simplement en train de devenir. Les gens sont libres de se mettre avec telle ou telle personne. Nous avons tous, citoyen que nous sommes les mêmes représentations d’un couple avec notre propre vécu. Il y a peut-être des grandes déceptions par moments notamment lorsqu’il y a une séparation comme le divorce dans une famille. Notre démocratie est en perpétuelle évolution. Les devises de notre République sont trois termes avec du sens concret qui remonte depuis la première Révolutions françaises où même Marianne aurait pu hurler ces devises en montrant sa poitrine généreuse aux yeux de tous afin de narguer les réfractaires. Ces devises sont en fait trois chemins, trois droites pareilles en mathématiques appliquées, il se produit un phénomène prouvé : ces lignes parallèles se rapprochent en un point avec le temps. Cet accomplissement je le qualifierai ; non pas par une autre devise mais un mouvement phare que j’appelle la paix. Tous les couples d’amoureux se tiennent par la main quelle que soit leur sexualité dans tout l’Hexagone et dans le reste du monde. Sur les bancs publics les couples s’embrassent, au même moment les pigeons des villes picorent les quelques miettes de résidus de nourriture déposées sur le sol par un promeneur ou au passage d’un léger vent. Nous pouvons constater dans notre société une nouvelle émergence de la femme musulmane. C’est grâce à ces mouvements de masse de la population africaine et aussi tant d’autres provenant d’autres horizons que la France a pu reconstruire le pays à la fin de la Seconde Guerre mondial. Des nouvelles villes ont fait leur apparition, ce sont nos banlieues d’aujourd’hui. L’idée générale était de créer une sorte de ville meeting pot des populations. Ça, c’est la fraternité. Ce mode de vie a fonctionné un temps mais après, les gens qui avaient mieux réussi professionnellement, ont déménagé dans des lieux plus conviviaux selon eux. Aujourd’hui, les premières familles musulmanes arrivées sur le territoire de France veulent une autre vie que celle qu’elles ont connue. C’est que leurs enfants ne connaissent pas les mêmes problèmes que les parents ont connus. Car la vie d’avant était quand même beaucoup plus compliquée. Aujourd’hui, avec l’évolution de la société nous pouvons commencer à croiser dans les rues, les avenues, des femmes musulmanes, cheveux au vent avec leur famille, elles sont toutes aussi libres que les autres femmes. Ca, c’est l’égalité.
Automne
Bonjour je suis un arbre, j’ai sept ans, cela fait six ans que je suis dans ce quartier, avant j’étais dans un magasin, de très loin. Depuis sept ans je regarde les gens qui passent, j’ai remarqué quelque chose ; il y a sept ans les gens étaient plus propres, maintenant les gens jettent leurs mégots, les emballages, je trouve ça sale et en plus ils mettent leurs déchets sur mes racines, heureusement plusieurs fois dans le mois il y a quelqu’un qui nettoie mes racines et la grille qui m’emprisonne, j’ai plus de chance que mes frères de nature car j’ai une boulangerie à côté de moi donc j’ai la bonne odeur du pain chaud. Je suis dans une rue piétonne, je n’ai pas l’odeur de l’essence des voitures. Devant moi, il y a une brasserie-café. Alors quand le propriétaire fait du poison pour ses clients, dans toute la rue il y a l’odeur du poisson, cette odeur me donne envie de vomir, mes branches se rétrécissent mais l’odeur du pain me fait renaître et je redeviens en bon état. Bref, seul l’avenir peut dire ce que je vais devenir et ce que le monde aussi va devenir dans quelques années avec la pollution.
Jean-Baptiste 1993
Rendez-vous
Nous sommes en fin de journée, je suis épuisé, je m’allonge sur mon lit, je me repose d’une journée riche en émotions et de labeur. Lorsque soudain je commence à m’endormir. Mon esprit se met en position de rêve. Je me vois assis sur un banc de bois avec une femme à côté de moi. En même temps, la chanson « Mistral gagnant » résonne sans fin autour de nous. Je commence à m’endormir. Soudain la femme assise à côté de moi entame la conversation. À cet instant, je commence à reconnaître précisément qui est cette femme.
— Loulou.
— C’est qui ?
— C’est maman.
— Ce n’est pas vrai.
— Comment tu vas mon grand ?
— Oh mon Dieu, c’est bien toi maman.
— C’est bien toi aussi mon enfant.
— Pourquoi nous sommes là maman ?
— Je voulais te dire que je t’aime mon fils, comme
Toute ta famille, c’est ça le vrai rôle de la famille.
— Ah si tu savais à quoi pense ta grand-mère !
— Je pense à elle très souvent.
— Je sais.
— Pourquoi tu interviens aujourd’hui ?
— Je te vois tapoter tes écrits sur ton ordinateur.
— Je veux juste te dire de te savoir à mes côtés est tout simplement merveilleux, comme mamy qui est toujours à tes côtés tu le sais. Nous sommes tous reliés, tu comprendras le sens de cette phrase plus tard.
— Je m’inquiète pour toi. Je ne veux pas que tu aies des problèmes, c’est tes opinions ce que t’écris, je ne juge pas, mais essaie de comprendre que le lecteur ou la lectrice n’as pas la même vision que toi.
— Regarde comment sont représentées les femmes africaines dans les différents médias d’Afrique du Nord ou d’Afrique subsaharienne, tu constateras une disparité de la représentation due au régime en place. Les femmes musulmanes sont représentées au bon vouloir des médias des pays. C’est un scandale de voir que, dans certains lieux, l’égalité n’est pas forcément la même partout.
— Toutes les choses évoluent mon grand, il faut laisser faire le temps aux temps.
— Tu n’es pas comme ta sœur hélas, tu ne prends pas le temps de partager un moment avec une autre culture.
— Je suis un homme maman je n’ai pas le talent de ma sœur à m’intégrer avec une autre culture facilement puisque je voyage très peu, je ressens l’environnement qui m’entoure, tout simplement.
— Mais, parlons d’autre chose.
— Ne te fais de soucis pour moi.
— Je suis en paix, tu ne peux pas imaginer ce que je ressens.
— Je voulais te dire que j’ai bien reçu ton message en
2016, suite à tes écris.
— Mais tout va finir maman ?
— Quoi te répondre mon grand, ton premier rêve est fini mon grand.
— Tu crois que tu es seul ?
— Je pense que sur ce sujet, j’ai compris.
— Nous sommes ensemble, Loulou !
— Mais maman, tout avait commencé parce qu’un môme de cinq ans avait peur de la mort.
— En fait c’est ça maman.
— Je ne sais pas quoi te dire ; profite du moment présent comme je te l’ai toujours dit.
— La vie sur Terre est ainsi faite.
— La vie sur Terre, mais ailleurs peut-être pas ?
— Tu me fais sourire.
Lorsque soudainement mes yeux se posent sur ma mère, je vois le visage souriant d’un ange.
— Tu es toujours en train de chercher de nouvelle chose.
— Écoute un de tes derniers rêves, celui de devenir tous des Anges n’était pas une mauvaise idée.
— Tu dois continuer à avoir confiance en l’avenir comme tu l’as toujours eu.
— Nous sommes tous là-haut, et toi aussi maintenant, tu le sais !
— Tu veux dire quoi ?
— Oui, même toi.
— Toi, tu es juste relié différemment, pour le moment.
— Oh tu sais maman, j’ai compris un des secrets de la vie, c’est comme le jeu des sept familles, le jeu de cartes avec lequel on jouait lorsque j’étais enfant. Il y a la grand-mère, la mère, la fille, la petite fille… elles ne forment qu’une, comme pour les hommes, le grand- père, le père, le fils, le petit-fils, ne forment qu’un.
— Au moins tu as compris où se trouvent Adam et Ève, toi.
— Mais dis-toi que parfois les familles sont nombreuses ou pas, comme ils existent des couples qui ne peuvent pas avoir d’enfants pour des raisons diverses et variées ou tout simplement n’en veulent pas.
— Je sais maman.
— Pour revenir à ton questionnement, laisse faire les choses et garde l’esprit ouvert, mais surtout vis ta vie.
— Tu dois te réveiller maintenant ; j’ai fait quelque chose pour toi, ça ira mieux par la suite.
— Prends soin à toi mon enfant.
— Je sais que tu portes une immense importance à ce qui t’entoure, regarde les gens autour de toi maintenant, tu la reverras…
— De qui tu me parles ?
— De ton rendez-vous, la personne que tu as vue dans ton esprit lorsque tu as eu des gros problèmes de santé il y a plus de vingt ans en arrière.
— Ne reviens surtout pas sur ce passé, c’était la pire époque.
— Le passé est passé.
— Tu crois qu’elle n’existe plus ?
— Vis l’instant présent.
— Elle existe toujours ?
— Oui.
— Le passé est passé, regarde plutôt le futur.
— Maintenant tu as fondé ta famille.
— Ta fille et ton fils sont ton futur, sache-le mon grand.
— Tu comptes écrire un autre recueil ?
— Mes écrits sont comme des bouteilles jetées à la mer pour essayer de communiquer avec le passé dans le moment présent.
— Pour répondre à ta question ; non je n’écrierai plus de livre. Cette fois j’ai fait le tour de tous mes rêves.
— Sans aucun doute.
— De quoi ?
— Tu auras ton rendez-vous.
Mots
Pour moi, l’amour, je l’imagine avec l’autre comme un vent doux et chaud, avec quelques odeurs des fleurs, des bleuets de la terre et de la rose blanche symbolisant pour moi la Lune. Je l’imagine avec ce soleil de couleur orangé sous le regard bienveillant du satellite de la terre selon ses différentes phases. Mais mon Ange, je ne sais pas comment expliquer que j’ai un pied sur Terre et un en suspens sur un nuage. Ce n’est surtout pas fini. J’imagine aussi l’amour s’il était une saison, il serait le fruit de cette saison en cours. La récolte de ses fruits est la récolte infinie de cette forme presque parfaitement géométrique, « donc parfaite ». Cet amour est à chaque parcelle de cette planète Terre qui tourne sur elle-même et tourne en même temps autour du soleil. Dans ce système solaire, où se trouve notre voie lactée avec l’odeur olfactif des fruits ; la Terre vie en apesanteur par elle-même dans l’espace sous une valse ; avec ces hommes et ces femmes bref tes enfants de cette mère nature qui chantent et qui dansent, avec différentes émotions que cette Étoile de notre Système solaire leur procure. Cela résulte d’une manière de vivre ensemble sous le regard bienveillant de sa douce et chère Lune, qui m’a prêté sa plume pour écrire ces quelques mots.
Marianne
Nous sommes nés tous avec des points en commun qui nous lient. Un des cadeaux de notre naissance est la possession dans notre cerveau d’une vague venue des mers, des écumes des océans. Cette vague, c’est la spiritualité. Elle est en fait notre première liberté de tous. Notre éducation de chacun est différente ou plutôt peut paraître différente pour les individus peuplant cette si vaste planète, mais tout compte fait c’est le système où nous sommes nés qui amène à des inégalités. C’est le système qui donne ces inégalités. Aujourd’hui encore dans certaines régions du globe la démocratie n’est pas entièrement appliquée. Pratiquer sa religion est un droit mais non une obligation, comme dans notre pays où les fondements de la liberté de chaque citoyen à commencer après la Révolution française. Les droits de l’homme et du citoyen ont été promulgués et votés par la première République française, voilà la base. Un autre moment fort de notre liberté d’aujourd’hui, c’est la loi de 1905 Lorsque l’État français a voté la séparation de l’Église de l’État. Cette loi est pour moi une référence importante puisqu’elle a toujours de l’écho aujourd’hui au XXIe siècle. S’en est suivie l’adoption des droits de l’Homme et du citoyen dans presque toutes les démocraties du monde. Les fondements de ce texte ont été inspirés par la déclaration d’indépendance des États- Unis d’Amérique du 4 juillet 1776 face au Royaume Uni. Ce territoire comme tout le continent américain représentait une terre nouvelle : le paradis face à l’Europe. De même, à l’époque de l’Empire romain le lieu considéré comme le paradis c’était la Terre. La première fois que j’ai lu la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de l’ONU. Je me trouvais au lycée, l’année anniversaire de ce traité. Le président de la République française, monsieur Jacques Chirac, était en fonction à l’époque. Laissez-moi vous adresser ces réelles larmes d’adolescents que j’étais en lisant la copie de ce texte que le proviseur en personne nous avait fourni. Les articles de ce traité de l’ONU raisonnaient d’une telle beauté qu’ils me mettaient en émoi par rapport à mes difficultés de jeune adulte que je commençais à devenir. Ces mots qui résonnaient comme une musique représentaient tout simplement « un idéal » qui s’est concrétisé après des années dans les démocraties du monde notamment dans notre pays des droits de l’homme. J’ai compris ce jour-là le sens de mes rêves, celui d’essayer d’attendre un idéal. Et j’ai compris que personne n’est parfait seul le temps nous fait évoluer, afin d’attendre la sagesse. Le système informatique sur lequel reposent tous nos différents modèles de société repose pour le moment sur un vieillissement de nos corps et non sur une croissance physique de la population. Devenir sage ne veut pas dire devenir vieux mais au contraire veut devenir Grand avec toutes les facultés que tous les hommes et les femmes ont le droit d’obtenir avec le temps. Ça, c’est l’évolution de l’espèce pour moi. C’est alors que j’ai commencé a rêvé de devenir un Ange, d’abord en rêvant de leur ressembler physiquement ce qui voulait dire d’avoir les traits fins au niveau du visage bref d’être beau, se trouver beau. Après j’ai essayé d’imaginer comment nous pourrions penser différemment comme des Anges. Ce rêve d’évoluer, nous tous, Terriens que nous sommes, en des Anges, cette manière de penser c’est une philosophie, c’est celui d’attendre un Idéal. Nous avons tous le droit de pratiquer sa religion, d’être croyant ou ne pas l’être. Pour ma part je suis croyant. Aujourd’hui dans notre société en 2020, il y a de moins en moins de pratiquants qu’au siècle dernier. Il y a même eu certaines églises qui ont été vendues par l’Église elle-même faute d’argent pour l’entretenir. Il y a de moins en moins de pratiquants qu’autrefois, c’est une des réalités du monde moderne actuel. Notre époque, celle de notre siècle : sera-t-elle le déclin des religions ? L’avenir nous répondra sur cette question. Je pense plutôt que nous sommes dans une évolution de la spiritualité. Une sorte de suite de la génération 70 mais sans les bombes des guerres qui pètent à côté. Je vois autour de moi aussi une réelle liberté sexuelle où l’homme et surtout la femme peuvent jouir entièrement de leurs envies. Une chose dont je suis sûr, cette époque que nous vivons ensemble sur la Terre sera une époque formidable qui durera très longtemps. Le monde économique actuel est le seul système que l’on connaît avec ses points forts et ses points faibles mais c’est le seul système aujourd’hui qui offre la possibilité à chaque individu, la chance, de monter socialement les rangs. Peut-être faudra-t-il revoir la copie d’autres systèmes économiques, un mélange de communisme et de capitalisme avec d’autres moyens d’échanger les produits et les services. Ce qui compte surtout, c’est de rester dans le système démocratique puisque c’est le seul système qui donne des libertés à toute une population. Notre pays, la France, est un exemple politique, économique, puisqu’elle est, du fait de la base de son histoire, une démocratie encrée depuis très longtemps. Laissant à la population une liberté dont même les Français n’imaginent pas la chance qu’ils ont de vivre dans ce pays. Du point de vue des libertés individuelles, nous sommes les meilleurs. Ne soyons pas chauvins non plus, sur d’autres aspects la France n’est pas toujours la meilleure. Il faut rester dans un environnement positif, un esprit positif, cette énergie positive donne l’envie de construire sur ces bases qui font partie des meilleurs du monde. Aujourd’hui il ne faut plus penser comme avant, où chaque pays parlait de patrie. Cela n’a apporté que division et guerre. Plusieurs personnalités politiques du passé autant de droite que de gauche nous ont ouvert l’espoir d’un nouveau territoire où la démocratie est officiellement inscrite pour les populations puisque c’est une des conditions absolues. Je veux parler de l’Europe. Le système économique de notre pays, de ces pays, repose sur un système capitaliste. Voici quelques exemples modernes et simples qui peuvent montrer une modernisation du système économique : depuis quelques années des nouvelles monnaies sont apparues pour le grand public. Comme les monnaies locales qui commencent à apparaître sur certains territoires. Il y a aussi les monnaies numériques qui ont fait leur apparition il y a peu de temps. Peut-être le fait de donner une entrée d’argent à la population la plus pauvre aura comme résonance une meilleure manière de vivre. Ceci est un exemple de mélange entre le communisme et le capitalisme. Il y a aussi certaines banques dans le monde qui proposent les microcrédits pour aider les personnes à obtenir un prêt. Quoi qu’il en soit, le système économique dans lequel nous vivons devra évoluer même si au fond la base de la base est fondée sur le théorème de Darwin, gardons cette notion de rêve, de philosophie ancrée dans notre esprit. Même dans les pays à gouvernance communiste les choses évoluent, comme la Chine ou comme la Russie qui n’est aujourd’hui que dans sa jeunesse de la démocratie. La France a aussi aboli la peine de mort. C’est un événement d’une ampleur sociétale majeure. Cette République française qui a comme allégorie une femme montrant sa poitrine généreuse en dit long sur la liberté de chaque citoyen. Après des années, des siècles, elle est toujours en perpétuelle évolution. C’est une société vivante tout simplement. Nous vivons une époque formidable qui perdurera dans le temps, par conséquent cette époque évoluera, comme toute chose, comme tout individu. Le futur s’écrit tous les jours, les jours d’hier pour demain.
Conte de noel
Voici l’hiver et son cortège,
Tout est couvert de neige,
Malgré le givre qui pend aux branches
Le Père Noël avec sa barbe blanche
Descend dans les cheminées
Pour remplir les petits souliers,
Rien ne l’arrête,
Pas même la tempête,
Et malgré sa lourde hotte,
Courte la nuit et jusqu’à l’aube,
Pour récompenser les enfants.
De chacun ce bon Père Noël
À reçu, la veille,
Un petit mot parlant de leurs jouets désirés
Et en un instant voilà le jouet convoité,
Qui est mis dans la cheminée.
La tournée est finie
Les heures de la nuit sont finies ;
Voici le jour.
Les enfants sautent en bas du lit,
Ils courent vers la cheminée
Qui semble leur dire : approchez !
Ils sont ravis,
Que de chose, que de merveilles,
Oh, ce beau livre d’images,
Et cette poupée,
En voilà pour tous les goûts
Pour tous les âges.
Qu’ils sont heureux, qu’ils sont contents,
Le plaisir illumine leurs visages.
Oh ! Quel grand jour pour les enfants.
Mamy
Lundi 9 décembre 1929
Voie lactée
C’est sous un vent mauvais que je pense aux moments où nous aurions pu nous voir, c’est sous un vent d’espoir que je vois l’avenir. Je sens et ressens tous ces anges, ces hommes et ces femmes ; tes enfants qui ont évolué en des corps d’anges. Dans chaque regard nous pouvions reconnaître une multitude de visages, d’entités diverses et variées, complémentaires. Dans chaque femme, il y a l’ensemble de son évolution écrite comme une carte génétique, ce qui donne comme résultat des traits fins de visage et harmonieux sur chaque être autant chez les femmes que chez les hommes. Des hommes et des femmes qui s’adoraient, qui s’aimaient, qui se détestaient, qui se ralliaient pour s’aimer de nouveau, qui croyaient en l’amour, le vrai, celui de l’amour universel. Le rêve de la Terre Mère pris forme en écoutant toutes ces chansons à l’unisson, en symbiose et en harmonie avec toutes ces voix d’hommes et de femmes, enfin pour tout dire c’est le langage qu’est la musique, la manière d’exprimer une idée, une émotion, une sensation, une idée. C’est sous la forme du chant que tous ces enfants se sont mis en position de lévitation en forme d’énergie, une note musicale résonne comme une onde qui rend possible le fait de mettre le corps en lévitation et donne à tous la sensation d’avoir des ailes. Ils sont encore plus libres qu’ils étaient hier. Entre la Terre est ces anges un lien fort les maintient et les rassure, c’est l’amour qu’ils ressentent. Parce qu’ils savent que la Terre sera toujours là avec eux. Ils lèvent tous les yeux en direction du ciel, ils s’approchent d’une nouvelle terre, un idéal, un paradis, celui en direction de la Voie Lactée.
L’au-delà
Durant cette année 1999 appelée aussi « année de la fin du monde », j’étais au lycée avec de nombreux projets inscris en moi. Pendant cette année je passais mon baccalauréat scientifique. Je passais en même temps mon permis de conduire. Pour finaliser et aboutir à ces projets, il faut être très assidu à son travail, et cela demande beaucoup de concentration mais ceci est normalement le fruit de notre travail des années précédentes ; ce sont les bases que l’on doit obtenir. C’est un plan de travail pour la suite des études J’ai préparé mon baccalauréat en trois ans. Ces trois années ont été des superbes années d’enrichissement sur tous les points, j’étais un adolescent normal de mon époque, et j’étais heureux. Après le passage de toutes les épreuves du baccalauréat, tous mes efforts ont porté leurs fruits, je l’ai obtenu ainsi que mon permis de conduire. Ces efforts ont épuisé toute l’énergie que j’avais en moi, et a fait en sorte que ma santé s’est détériorée au fil des mois. Je me suis refermé sur moi-même. Mes cinq sens étaient désorientés. C’est alors que j’ai pris la décision de fuguer de chez moi en direction de « la baie des Anges », dans le sud de la France pour m’y reposer. Ce fut une semaine en dents de scie. Compte-tenu de ma difficulté à m’adapter seul dans un monde inconnu et avec peu d’argent, je contacte mes parents au bout d’une semaine. De retour dans mon lieu de vie, j’ai pendant des heures a discutées avec mes parents ; j’avoue que je n’ai pas insisté au sujet sur mon mal-être qui était immense. Quelques jours après la discussion, une réponse inattendue me parviens : une école supérieure m’attend pour poursuivre mes études en classe d’IUT. Peu de jours après, j’arrive dans cette nouvelle école, dans une nouvelle ville. J’avais l’impression de recommencer une nouvelle vie avec de nouveaux buts à atteindre. Cette impression fut vite faussée car mon mal-être continuait à se répandre en moi. C’est après une profonde réflexion sur mon état de l’époque que je décide de mettre fin à mes jours. Grosse erreur de ma part de penser cela ! Je ne voyais que ce moyen pour m’en sortir et mettre un terme à ce mal présent en moi. Je regarde le calendrier et décide du jour et de l’heure où cela se produira. Je constate que le jour du 23 novembre 1999 vers 21h00 était approprié pour mon geste. Il s’avérait que cette nuit-là, c’était la pleine lune. C’était un petit clin d’œil d’un astre que je contemplais souvent, qui m’accompagnait lorsque j’étais petit, à travers la fenêtre de ma chambre. Arriva le jour qui devait, doit et devra changer ma vie. Le temps n’était pas avec moi, la lune était cachée par des nuages et il pleuvait fortement cette nuit-là. J’avais bu beaucoup d’alcool pour m’aider à ma tâche. Malgré ces intempéries, j’ai réussi à allumer ma dernière cigarette comme la dernière volonté d’un condamné à mort. C’est alors que je branchais mon baladeur CD avec une dernière musique afro-américaine de blues que je me devais d’écouter jusqu’à ce que je ne sois plus. La musique s’appelait « When a man love a woman ». Avant d’être allongé sur le toit du haut de mon immeuble, j’avais envie de faire quelque chose de bien, c’est alors que j’ai imprimé sur une feuille cette phrase destinée aux personnes qui découvriront mon corps : « je donne mes organes à qui en aura besoin ». Je prends le soin de mettre cette feuille dans un plastique transparent et le colle sur mon ventre. J’attends quelques secondes après le début de la chanson et je saute. Arriva le plongeon. Je me rends compte que je suis conscient, même l’alcool que j’avais ingurgité ne faisait plus son effet. Mes douleurs étaient immenses, sur toutes mes articulations. Notamment celle de la mâchoire qui elle était complètement pulvérisée par le choc. Une énorme fatigue m’envahie et mon cœur se mit à battre la chamade, mes oreilles se mirent à siffler très fort. Ma respiration était plus saccadée et j’étais en manque d’oxygène, j’avais de plus en plus froid. J’entendis quelques minutes après la sirène des secours. Les premiers soins m’ont été apportés par des secouristes du SMUR de Valence, ils insistaient sur le fait que je ne devais pas m’endormir avant qu’ils réussissent à stabiliser au mieux mon état. J’avais horriblement mal et très conscient. Puis, une heure environ après les premiers soins, j’étais en direction de l’hôpital. Dans l’ambulance, il y avait cette sirène qui me gênait plus qu’autre chose. Un des médecin urgentiste comprenait ma gêne auditive et me disait de me battre. L’ambulance était toujours en direction de l’hôpital mais une autre partie de moi était encore par terre en bas de l’immeuble. C’est pendant mon intervention sur le lieu du geste où les secouristes m’ont apporté les premiers secours que je fis le plus difficile et le plus beau voyage de toute ma vie lors d’une E.M.I. « Expérience de Mort Imminente » : celui en direction de la porte des Etoiles. J’entendis des pas bruyants en direction qui se rapprochaient de moi sans distinguer clairement le ou les visages puisque mes yeux étaient dirigés vers le sol. C’est alors que d’un coup vif et rapide j’entends comme des chaînes qui se brisent en éclat au niveau de mes chevilles avec une voix puissante qui me dit :
-cette fois on y va.
quelqu’un m’a pris par la main et j’ai senti mon âme s’élever dans les airs et je me suis mis à voler droit devant moi. J’arrive dans un lieu dont je ne connaissais pas l’existence, je me trouvais dans un tunnel assez sombre avec comme seule luminosité une lumière blanche en face de moi qui guidait mes pas. Il y avait un son pesant dans ce lieu. Au début de ce tunnel, se trouvaient d’autres individus sur le long des murs, ils avaient tous un visage normal mais quand nos regards se croisaient, j’arrêtais d’avancer et nos têtes se transformaient en monstre. Pendant toute la traversée de ce tunnel, je sentais une présence en moi qui se situait au niveau de mes épaules. J’ai commencé à prier, la prière de la vierge Marie était celle qui me procurait la force. Au milieu du chemin une âme malveillante qui se situait le long du mur a réussi à me poignarder avec une arme blanche au niveau du bas ventre. Je me suis retrouvé figé et j’ai commencé à me recroqueviller sur moi-même, j’avais horriblement mal. La lumière blanche en face de moi s’est mise à perdre de son intensité. Je me suis alors remis à prier et j’ai fait abstraction de cet esprit, c’est alors que j’ai recommencé à être attiré par cette lueur. L’intensité de cette lumière soignait en même temps mes blessures physique. Puis arrive la fin, il y avait trois ou quatre marches à monter pour arriver à cette lumière. Mais d’autres individus se situaient au bout, et voyant que l’un d’entre eux faisait aussi des gestes hostiles, je me suis dit que tout est foutu pour moi. Ces individus portaient la tenue de militaire des SS Allemand durant le III Reich. Pour que ces individus soit présent et ainsi être positionner à ce niveau-là. Après réflexions faites ; ils ont dû essayer d’atteindre les limites de la conscience d’être en état de décès, et faire par eux même des expériences de mort clinique, cérébrale. C’est alors que j’ai appelé cette présence sur mes épaules et d’un seul coup, un nom fut prononcé dont je n’ai pas le souvenir, puis je me suis retrouvé propulsé à face à moi en direction de cette lueur. J’avais très peur, je fermais les yeux pendant tout le parcourt qu’il me restait à faire. Je suis arrivé sur une plateforme en hauteur où les murs du fond ne se distinguaient pas. Il y avait peu de luminosité. Mais le sol était stable, c’était comme un carrelage de PVC. Je l’ai vérifié en inclinant juste un peu mon buste vers ce sol. Mais ma tête restait bien droite, il m’était même bien impossible de bouger mon corps. Je regardais toujours en face de moi en direction de cette lueur qui se concrétisait. J’entendis des voix qui disaient : « c’est trop tôt ». J’avais autour de mon coup des chaînes. J’entends des voix disant « c’est qui ? », « c’est quoi ? » alors une entité lumineuse de taille humaine s’est approchée de moi en ouvrant ses bras ; en un seul coup avec ses deux index elle jette une onde positive ultra puissante en poussant un léger cri pour briser ces chaînes et soigner mon corps. Puis tous mes sens se sont mis en état d’excitation. Ils étaient beaucoup plus avancés et développés que sur Terre. J’avais l’impression d’être plus intelligent comme si le fait d’être sur Terre empêchait certaines capacités intellectuelles de se développer. En tout cas j’avais une autre impression et sensation dans mon esprit. J’avais en même temps une autre visualisation en trois dimensions de la pièce où je me situais. Sur ma droite, je distinguais une entrée en forme de tuyauterie à taille moyenne. C’est alors que je me suis rendu compte que ce lieu m’était familier. J’ai su que cette tuyauterie amenait vers un lieu de repos, c’était une plage. Concrètement c’est une plage avec ses palmiers, son soleil et sa vue, où des êtres s’y trouvent pour se reposer. Où seule une voix lointaine pouvait appeler une personne afin de lui permettre de la renvoyer sur Terre, avec comme unique moyen un immense ventilateur dans le ciel. Quand j’étais sur cette immense plage il n’y avait que l’océan en guise d’horizon avec comme bruit de fond le son de la Terre. Au cours d’une autre vie que celle-ci, quand j’y étais, j’ai encore le souvenir d’entendre les bombes pendant les guerres du siècle dernier détruire la planète. Au-dessus de moi je distinguais une énorme cheminée. Il n’y avait pas d’échelle pour avoir une vision claire et précise du lieu. Mais avec ma vision et ma pensée en trois dimensions, je sais qu’il s’y trouvait à l’extrémité un panorama pour contempler une vue imprenable, celui d’un astre vivant : la planète Terre. Devant moi cette fameuse entité luminescente, au corps de femme, un mélange parfait avec celui d’un corps d’homme. Sa peau était translucide, où ses veines se distinguaient par des alvéoles plus ou moins épaisses selon les endroits précis de son corps, en laissant apparaître une puissante énergie de vie son visage aux contours lisses était si doux et son physique semblait si parfait que j’avais peur de fixer son regard. C’était une femme en corps de papillon, voilà tout est dit Ᾰ ce moment précis, au niveau du sol une secousse s’est fait ressentir. Puis des individus dont je n’ai vu que les ombres ont lancé de la terre ou du sable pour le stabiliser. En ce qui concerne cette entité, le contact était interne entre nous deux, seule la pensée profonde de chacun était prise en considération pour communiquer. J’entendais sa voix à l’intérieur de moi. Nous nous sommes mis à rire comme deux petits anges perchés, sur des sujets sans intérêts. Elle me fit un signe avec ses mains en positionnant ses doigts d’une certaine façon comme une carte d’identité. J’ai fait comme elle. Elle me dit : « j’ai quelque chose pour toi ». A ce moment précis, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai touché son bras brutalement, avec un geste rapide, non pas dans le but de montrer une quelconque agressivité mais j’avais besoin de la toucher concrètement. D’un coup, en levant son bras au-dessus de sa tête, elle ouvra une porte derrière elle qui amenait dans une pièce de montage de son et vidéo, comme un espace multimédia. C’était surtout une pièce dans le but de contrôler, contrôler la vie sur Terre. Des scènes réelles de la vie étaient visualisées en direct et en continu. Il y avait plusieurs écrans de télés connectées aux différentes étapes de la vie courante ; où se trouvaient des techniciens de l’image qui étaient surpris de nous voir ici et avaient l’air de connaître cette entitée. Ces techniciens avaient un lien direct avec les images qui étaient diffusées. Ils pouvaient intervenir à tout moment avec des micros sur leurs tables de mixage. C’est alors qu’ils me montrèrent une vidéo en direct de la Terre. Elle représentait un couple de singe, qui avait du mal à communiquer entre eux. Le mâle ne voulait pas s’approcher de la femelle, il s’en moquait, mais quand la femelle apporta un peu de nourriture, tout devenait plus simple, le contact avait lieu. Puis ils me montrèrent une autre vidéo. Des hommes et des femmes s’y trouvaient mélangés mais surtout ils n’étaient pas unis. Par moment, ils y en avaient même qui se bagarraient violemment et se mangeaient entre eux, bref, la loi de la jungle. J’ai aussi visualisé une vidéo me montrant l’un des premiers mammifères sortir de l’eau et posant pour la première fois les pieds sur terre. J’ai vu les difficultés et la transformation de son corps marin à son corps terrestre ; des sortes de pics se sont formées tout le long de son corps comme celui d’un animal ingrat. Il s’agissait d’une des premières espèces d’iguanes. Après avoir vu ces vidéos, je me suis retrouvé au même endroit qu’au début. Elle me montre un moment digne d’un rêve comme celui des contes des mille et une nuits. J’entends : « ouvrez la porte ! ». J’entends le bruit d’une vielle porte qui s’ouvre sur sa droite au fond de la pièce comme celui d’une porte abîmée par le temps, je rentre à travers cette porte cochère beaucoup plus grande qu’un être humain. Et ce fut un autre voyage… malheureusement je n’ai plus assez de souvenirs détaillés pour le décrire concrètement. Mais je peux dire que cela se passait sur Terre comme une balade vers l’avenir. Le climat était très bon et chaud, le soleil battait son plein et l’air ambiant était très pur. Pendant cette balade, j’ai croisé d’autres personnes qui avaient l’air d’être paisibles, heureux et donnaient l’impression d’être tous unis entre eux. Cette vision de la Terre du futur regroupait tous les rêves d’enfants et ces rêves sont mis en commun pour chaque individu peuplant la Terre. Il n’y avait pas seulement le soleil et l’air qui étaient différents. Mais la vision aussi était différente, en particulier la perception que l’on pouvait avoir de la nature, des objets… Les nuages dans le ciel étaient moins nombreux. La luminosité était plus claire et intense, laissant parfois des poussières de couleurs sur le sol. Tout avait l’air plus grand, comme le monde des géants. J’ai vu des cailloux qui longeaient le sol, j’ai vu des femmes et des hommes, certains portaient une couronne dorée sur la tête. Je voyais des arbres parfois immenses. La porte se referma laissant entendre derrière elle le bruit d’un son lourd et profond pour se terminer sous un horizon de l’océan, le long d’un port avec ses marins travaillant en toute tranquillité avec leur filet de pêche. Enfin, sur la gauche de la pièce où nous nous trouvions, elle me demande de positionner mes bras d’une certaine manière. Je ne comprends pas tout de suite le sens de sa demande mais je l’ai compris au bout de quelques secondes. Lorsque qu’en face de moi je me suis trouvé situé au-dessus d’une montagne que je m’apprêtais à descendre tout doucement dans les airs à travers les nuages. J’ai traversé une vallée au sol orangé, un sol de couleur ocre. Pour atterrir en face de cette immense montagne sur une colline avoisinante, laissant une vision claire et précise de cette vallée. Sur cette vallée se trouvaient des hommes venus d’une autre époque. C’étaient des guerriers vêtus pour certains avec une cape. Ils étaient armés avec d’immenses lances pointues, mais aussi avec d’autres armes blanches et étaient divisés en deux camps distincts, prêts à s’affronter. Sur la colline où je me situais, se trouvait des militaires gradés avec quelques femmes, venant aussi d’une autre époque. Tout d’abord, leur langage était le même que le mien, je les comprenais. Ils me fixaient du regard et je lisais sur leur lèvre : « c’est lui ! ». Ils me regardaient et étaient étonnés par ce que je portais comme vêtement comme souvent pendant mon adolescence un un jean’s et un tee-shirt blanc. Puis nous nous sommes tous mis à rire comme de petits anges. Je les regardais avec une légère crainte pour savoir comment eux étaient. J’ai vu surtout des hommes vêtus d’un casque en métal sur leur tête tenant à leur main des boucliers. Leurs traits de visage était typé de style : antiquité Romaine. Soudain, dans ce milieu inconnu mes propres peurs se font ressentir en moi c’est alors que j’ai demandé à sentir l’odeur de parfum d’une femme. J’entendis une voix forte qui dit : « toi vas-y ! ». Une femme s’est alors approchée de moi, j’avais une peur bleue de la fixer du regard mais lorsque j'ai senti son parfum cela m’a aussitôt apaisé. Elle sentait très bon, aux arômes de fleurs. Je ne savais pas pourquoi je me suis trouvais à cet instant précis avec de tels personnages et ils me donnaient l’impression d’attendre un signe du ciel depuis un certain temps ; comme si le temps avait fait une pause dans leur propre environnement pendant toute ma présence sur cette colline. Après plusieurs minutes et après avoir discuté avec les personnes présentes j’avais la crainte de ne pas revenir. J’ai reconnu physiquement une personne qui était tout simplement moi mais dans l’époque antiquité romaine, cet homme, était un simple soldat. J’ai demandé aux chefs de le marier avec la plus jolie femme à tout prix, en versant quelques larmes sur mon visage. En leur expliquant que je me suis toujours senti seul au cours de ma vie. Je leur ai aussi dit que là d’où je venais c’était la paix et j’ai repositionné mes bras de la même manière avec lesquels je suis venu ; puis j’entendis comme un bruit assourdissant provenant du ciel et je me suis retrouvé à monter dans le ciel au-dessus de la montagne. Je la revoie, celle qui m’a fait vivre tous ces différents évènements. Je communique toujours avec elle comme une fusion de nos deux esprits, elle me demande : « qu’est que tu veux ? ». Je ne m’attendais pas à une telle question, et je n’avais pas de souhaits précis comme je n’avais pas trop envie de rester là-haut car le lieu était trop puissant pour moi à l’époque ; j’avais le sentiment que j’avais beaucoup de chose à accomplir dans ma vie. Une chose dont j’étais sûr c’est que je n’avais plus envie d’en finir. Là où je me situais était le plus haut lieu où se trouvait une forme de vie. Ce n’était pas Dieu que j’ai rencontré, mais j’appellerai ce lieu le contrôle de la Vie. J’ai même demandé à cet être de lumière si puissant : « où est le paradis ? ». Parce que je pensais que j’étais mort en lui parlant préalablement de Jésus vis-à-vis de ma propre croyance. Elle m’a répondu : « la Terre, c’est le paradis ». J’ai beau être d’une religion d’origine chrétienne, et pour tout vous dire je suis musulman aujourd’hui portant et gardant le nom de Jean-Baptiste par choix vis à vis de ma femme, mes enfant et de ma belle-famille. Cette entité lumineuse était le fruit d’un rêve, le rêve d’un enfant. En répondant à sa question sur mon souhait, j’ai fait la demande de ressembler à un ange avec une auréole au-dessus de ma tête. J’ai demandé d’avoir des amis, de faire l’amour durant toute ma vie. Enfin bref, des choses qui me manquaient auparavant. C’est alors que j’entendis d’autres souhaits avec ma propre voix lui demandant d’autres choses aussi belles, comme s’il y avait plusieurs entités en moi qui parlaient à ma place. Arriva le moment de nous séparer, j’entendais des voix autour de nous qui disaient : « nous n’avons plus le temps ». Pour que tous mes souhaits se réalisent il faudrait peut-être plus de dix ans. C’est alors que je lui ai demandé un rendez-vous dans dix ans mais cette fois sur Terre. Je pensais que c’était ce qu’elle désirait le plus au monde peut être mais après tout que sa position et ses devoirs ne lui permettraient peut-être pas. Je lui ai clairement dit que « passé ce délai de dix ans vous arrêtez tout ». Pendant la conversation, il était question que j’aille de nouveau en direction de cette plage. Mais je ne l’ai pas accepté, parce que je savais que c’était un lieu de non-retour qui prend effet immédiatement dès mon arrivée là-bas. Puisque pour rentrer dans ces tuyauteries il fallait changer de corps en prenant un nouveau corps qui se gonfle d’eau au début ; puis en faisant quelques exercices musculaires il devient stable, et très souple. L’acuité de tous les sens sont alors ce qui touche le monde de la Mer et de l’Océan, et bien plus encore. J’ai donc fait la demande de poursuivre ma vie d’avant, en lui demandant au préalable si j’allais avoir des problèmes physiques majeurs. Parce que si cela avait été le cas j’aurais fait le choix de revivre une nouvelle vie. Une petite voix me dit « je reste », c’est alors que l’être de lumière dit à une entité en moi : « toi tu restes avec lui ». Puis j’ai fait le chemin retour de mon arrivée sans détails significatif sauf celui de me retrouver dans la chambre de l’hôpital où mon corps avait été soigné pendant toute la nuit.
Je voulais préciser aussi que lors de mon EMI mon corps et mon esprit est allé rendre visite à la femme que j’aimais le plus au monde à l’époque, une lycéenne. Je voulais la voire un dernière fois en pensant que je n’allais pas m’en sortir vivant. Mon expérience EMI a duré le temps des soins, soit toutes une nuit au CHU de Valence, en France. Après réflexion et voulant comprendre ce qui m’était arrivé pour connaitre toutes ces précisions dans mon esprit de cette E.M.I. J’en ai déduit que tout s’est déroulée en même temps mais pas dans les mêmes endroits comme si chaque scène vécue se déroulait sur plusieurs dimensions. Mais notre conception terrestre ne nous permet pas de visualiser notre pensée en trois dimensions. Seul le sixième sens entre-autre permet cette visualisation et interprétation.
Une fois mon corps soigné sur mon lit d’hôpital une voix me dit ; « tu peux encore attendre avant de le récupérer » J’ai tout simplement répondu à cette voix : « Comment fait-on pour se remettre dans son propre corps ? ». Cette voix m’explique qu’il faut tout simplement s’allonger et que la connexion se fait au niveau de la nuque. C’est alors que j’ai repris possession de mon corps. Je dormais et j’étais sous tranquillisants puissant en dans un comas artificiels. C’est alors que les appareils médicaux qui m’entouraient se sont mis à réagir plus activement. J’étais revenu d’un si long voyage. Je ne possédais plus tous mes sens hyper développés. Voilà ce qui s’est déroulé le Mardi 23 novembre 1999 vers 21h00 après les informations télévisées de TF1 pendant une expérience de mort imminente. Ce fut un moment difficile mais avec l’incroyable chance d’avoir survécu, il reste le meilleur moment que j’ai vécu au cours de ma vie à l’époque mais aux lourdes conséquences physiques. Concrètement j’étais le seul à pouvoir m’en sortir, comme si ce que j’ai vécu été fait uniquement pour moi, parce qu’une personne qui fait le même geste meurt sur le coup. Je peux vous dire que ce passage à détruit une grande partie de mon destin, j’ai pris un autre chemin soit plus de dix années de soin physique et psychologique. C’est pourquoi je regrette profondément mon geste, celui d’en finir avec la vie.
Ce que j’ai retenu le plus de cette expérience inoubliable ce sont ces quelques paroles entre cette entité et moi. Elle me disait en gros : « à qui sait attendre, le fruit de son désir est tôt ou tard obtenu, et la patience est le fruit d’une vertu indéniable ». En ce qui concerne mon passage pendant le début d’une guerre, certainement la guerre de Troie, je ne comprenais pas trop ma présence là-bas, à part peut-être celle de la mise en place des différentes nouvelles données par rapport à leurs connaissances de l’époque. Ainsi que ce message de paix, qui est une vision des plus appropriée, mais je pense que la guerre se déclara quand même après mon départ. Quant au voyage de la Terre dans le futur, elle m’a expliqué et même assuré qu’ici tout est prêt il ne manque plus qu’à brancher les supers ordinateurs de calculs matriciels afin de mettre à jour les superordinateurs pour que la Terre devienne ce fameux jardin d’Eden. Comme promis, après mon rétablissement je ressemblais à un ange. J’ai mis dix années à me reconstruire physiquement et me stabiliser mentalement, jusqu’en 2010 exactement. Même si dans le passé il y a eu plusieurs tentatives d’écriture d’un livre, celui-ci est l’aboutissement définitif d’un de mes souhaits demandé. Il n’y a pas un seul jour où je ne pense pas à cette entité luminescente au cœur vivant d’énergie. Aujourd’hui tous mes sens ont enregistré dans les moindres détails de ma mémoire ce passage dans l’au-delà. Entre l’année 2007 et jusqu’en fin 2009 mon cerveau était très actif. Le rendez-vous demandé il y a plus de dix ans n’a toujours pas eu lieu, en tout cas de la forme physique. Aujourd’hui, je me rends compte que tout compte fait, nous hommes et femmes telle que nous avons étaient créés, nous vivons un même rêve immense ; dans lequel chaque individu a son propre rôle avec ses multiples liaisons branchées entre elles. Ainsi jaillie la création sous une forme en trois dimensions, celle de la vie sur Terre. Métaphoriquement parlant cette Terre ressemble à une pomme comme le fruit cueillis par Adam et Eve sur son arbre, où commence l’humanité. L’arbres est en quelque sorte le symbole de passage de nos ancêtres disparus laissant leurs paroles en guise d’héritage de cette humanité.
Le 5 Septembre 2022
Chère Ania,
Quoi te dire après quelques jours après ton anniversaire. Si ce n’est que c’était géniale en vrai, toute la famille est passé au moins un moment pour passer du temps avec toi, c’est ça qui est géniale.
Je voulais te parler d’une chose qui pourrait te faire comprendre pourquoi tant de musique, de chansons que tu m’as vu écouter avec mes écouteurs ? dans cette lettre je vais te l’expliquer en quelques phrases. Avant je vais te dire qu’avant de travailler dans la cuisine, papa a commencé il y a très longtemps des études dans l’informatique, chose que tu ne savais pas, mais je te l’apprends, en effet après mon BAC S j’ai commencé des études en informatique plus précisément dans les technologies des réseaux et communication internet, plus précisément iut génie des technologie communication et réseaux iut GTR. J’ai dû arrêter cette étude très compliquée sache le. Mais un de mes premier cours d’informatique et c’est même un des seuls cours que je me souviens. Il s’agit du cours sur le Ping et le Pong. Je développe il s’agit d’envoyer un signal à une adresse IP d’un ordinateur et celui -ci réponds à l’ordinateur émetteur par une réponse. D’où le nom de ping et Pong comme les jeux de ping Pong avec les raquettes. Tout ça pour te dire j’ai toujours pensé pareil avec les chansons, certes cette idée peut paraitre saugrenu voir illogique. Mais lorsque j’écoute ma playlist, de n’importe quel que soit le style de musique pour moi la logique qu’une chanson entrainent automatiquement la suivante avec un lien imperceptible. Tu sais il y a eu dans le passé des chanteurs qui écrivait et chanter en lien avec leur réel amour. Pour ça c’est super. Dans ma tête toute ces chansons sont des pings et des Pong. Je vais te raconter un jour en enregistrant plusieurs centaines de chansons dans un ordinateur ultra puissant il m’est arrivé de sentir au niveau de mes épaules une souplesse. J’ai compris ce jour que la musique peut faire faire ressentir des choses qui semble impossible. Cette histoire c’est passé il y a aujourd’hui plus de dix ans c’était en 2O09 bien avant de connaitre ta maman. Après avoir copier toute ma musique soit plus de 10000 morceaux, le rêve à dépasser mon imaginaire.
Je voulais te faire partager ce passage de me vie jeune et te guider sur ma vision de la musique. Ton papa qui t’aime Jean-Baptiste
Une histoire de famille
La France venait de passé quatorze année de socialisme, avec un programme de gauche, une fois appliquer, laissant derrière lui la base où nous vivons aujourd’hui. Le programme de la gauche en France s’est développé au fils des années sous des présidents à gouvernance de droite se succédant. Le Générale de Gaulle, disons un des pères fondateurs de la cinquième République à laisser la possibilité d’avoir un contrepouvoir, une opposition afin que la république se développe et donne vie à une démocratie ce sont les règles de la cinquième république. Chose étonnante mais vraie lors de l’élaboration de la cinquième république la question de remettre l’héritier du trône du roi France s’est poser. Il était question de faire comme aux Royaume-Unis. La possibilité de remettre l’héritier des rois de France à la tête du pouvoir mais sans pouvoir réels, as fait partie d’une idée pour la constitution actuelle celle de la cinquième république. Il aurait dû représenter allégoriquement cette nouvelle république. L’idée n’a pas était retenu, préfèrent mettre une figure charismatique d’un président élue et changeant tous les sept ans. Nous sommes en 1994 la droite va prochainement accéder de nouveau au pouvoir en France. Un nouveau septennat avec un programme de droite mais s’alignant avec les quatorze années de la gauche. Ce qui as rajouté sept années de plus d’une certaine idée de la société. Au totale cela a donné vingt ans de tranquillité, vie paisible en France avec une politique sociale nettement plus développé par rapport à avant. Cette époque sacrée ; c’était l’époque de tous les possibles. Tous c’est arrêter lorsque le front national est arrivé aux portes de l’Élysée dans les années 2000 laissant à la droite pas d’autre choix que celui d’instaurer un nouveau programme politique beaucoup plus rigide, plus strique. Ce changement de situation a tout simplement et malheureusement mis en place du côté de la police, une police plus répréhensible que préventive qu’elle ne l’était avant. Il faut signaler aussi que l’état géopolitique de la planète était stable grâce notamment aux pouvoir des démocrates en place aux Etats-Unis d’Amérique. Vingt années dans la société ça représente quasi presque une génération complète. J’ai fait partie de cette jeunesse dorée, cette période de tous les possibles. Après plusieurs mois de travaux sur la plus belle avenue du monde, un rendez-vous se prépare, un rendez-vous dont j’allais être l’acteur, et en voici la trame de cette nouvelle. Comme chaque année nous montions sur la capitale pour fêter les fêtes de fin d’années en famille. J’aimais cette période car c’était les vacances et le fait changé de lieu de vie, d’environnement le temps d’un instant pour recharger les batteries fait un bien incommensurable. Comme à chaque fois nous faisions ce long trajet en voiture. Comme à chaque fois je retrouvais cette même odeur unique qui caractérise la voiture familiale ; cette odeur de plastique et de tissus avec une nuance de chaud. Comme chaque année j’entendais toujours ce même son atypique en continue des pneus roulant sur le goudron sur les routes et autoroutes. Ils nous faillaient toute une journée entière de voiture pour rejoindre la Ville Lumière. Lorsque nous arrivions enfin à destination mon père allumait toujours le poste radio pour écouter les informations. Nous étions à chaque fois étonné par le nombre élevé de stations radios disponibles, chose que nous n’avions pas en tous cas en si grand nombre dans notre province. Nous arrivions à destination toujours le soir tombant, sur la capitale. Plus nous avancions vers le cœur de la ville plus nous voyons les bâtiments d’entreprises industriels, nous passions aussi devant ces grands hangars des studios télés, des centres commerciaux. Ces bâtisses possédaient pratiquement tous des écriteaux publicitaires géant éclairant très nettement l’horizon. Après ce long trajet de toute une journée nous arrivions enfin à destination. Nous sommes dans une rue que nous connaissons bien une rue si particulière. Particulière car auparavant nous étions des habitants de cette rue. Dans cette rue nous y avons vécu jusqu’à ma petite enfance avant que mon père ait sa mutation professionnelle afin d’habiter en province. Dans la rue, le stationnement des voitures se dessiner tout le long de la rue de la manière suivante à semaine alternatif ; une semaine les voiture se garer dans un sens l’autre semaine, dans l’autre sens. L’environnement de la rue était vide est vivante à la fois. C’est cette impression que j’avais. Le cœur de la rue se trouvé dans ce garage de veilles voiture militaire américaine où il y avait cette odeur d’huile et d’essence. Le patron du garage connaissait tous les habitant de la rue. A chaque fois que nous arrivions en voiture dans cette rue nous aimions tous se retrouver le temps d’un instant avec ce garagiste, le temps de palabrer avec le passé surtout pour mon père qui adoré se moment pour parler de tout et de rien. Enfin les retrouvailles avec la famille, pour mon père un grand verre de Badoit voire même quelques fois une bonne bière fraiche après avoir passé une journée à conduire. Enfin nous nous revoyons après plusieurs mois passés entre les vacances d’été et ceux de noël. Un bon repas est préparé, toujours le même, chaque fois, mais il est vrai que c’est toujours aussi bon. La télévision est allumée une fois le repas fini. Nous regardions Les informations. Et puis il y a le retour dans la chambre pour se coucher, toujours la même chambre, avec toujours cette commode. Cette commode qui a traversé le temps et les époques, cette commode où il y a toujours ce tiroir. Ce tiroir de bric à braque, ce tiroir : magique. Ce tiroir où l’on a toujours le même plaisir à ouvrir à chaque fois. Où lorsque que l’on ouvre tout à coup on inhale l’odeur et d’un coup tous les souvenirs refont surface. Ce plaisir que l’on a de retrouver un passé qui implicitement implique des souvenirs d’autres personnes qui l’ont ouvert avant nous. C’est avec des yeux émerveillées d’enfant que j’aimais ouvrir ce tiroir. Il y avait à l’intérieur avec ces merveilles, une bande dessinée « Objectif Lune » datant de la première publication de Hergé. Après nous dormions avec pour ma part toujours un peu plus de temps à m’endormir puisque le voyage agiter un peu plus mon esprit et il y avait aussi l’excitation enfantine de retrouver mes grand-parent. Le lendemain matin dès que nous faisions du bruit cela voulait dire pour ma grand-mère que nous sommes réveillés. Elle avait l’habitude de rentrer dans la chambre pour ouvrir les rideaux métalliques. Bébert venait nous voir comme chaque matin et ronronnait des miaulements d’amour quant à Zizou, il était plus vieux et de comportement bagarreur venais tous simplement s’allonger sur la chaise du bureau de la chambre après une nuit de fréquentation douteuse et ainsi se reposer à son tour. Après nous descendions de l’étage, les marches étaient faites avec un très vieux bois, il n’était pas lisse et poncé, mais rugueux donnant un aspect très vieux. Nous nous retrouvions tous dans la cuisine. Comme chaque matin nous nous faisions tous la bise pour se dire bonjour c’était un rituel. Quand j’y pense je ne me suis jamais posé la question de savoir pourquoi nous faisions ça, nous le faisions c’est tout. Nous prenions comme tous les matins du thé au petit déjeuner avec un verre de jus d’orange mécaniquement pressé avec des oranges fraîches du marché. Après ma sœur et moi allions se poser dans le salon. Ma mère, terminé son Thé avec un nuage de lait quant à mon père, il finissait son café. Les discussions porté principalement sur la famille, sur le passé, le présent et le futur. Enfin ces discussions en fait nous portaient toute la famille dans les aires, avouons quand même que c’était toujours presque une répétition de langage surtout lorsque l’on parlé du passé. Sur cette seconde Guerre Mondiale que j’apprenais en même temps au lycée. Les soirées je les attendaient impatiemment, puisque mon père et moi avions pris une habitude que j’adorée afin de passer le temps des vacances à Paris. A ma demande et ceux chaque année passée sur la métropole je demandais toujours à mon père de nous balader en voiture. Parfois nous nous garions afin de flâner dans Paris le soir, Paris la nuit. Lors d’un des soirs, après d’être monté en voiture sur la plus belle avenue du monde mon père est parviens à se garer sur une des places disponibles le long de l’avenue, chose que l’on pouvait faire facilement à l’époque. Nous sommes sur les Champs-Élysées. Mon cœur battait très fort, je trembler aussi un peu de peur, mais en fait c’était dut à une surexcitation de l’endroit où nous nous trouvions. Nous avancions en marchant, la rue était éclairée sous l’éclairage des fêtes de fin d’années. Tout était merveilleux. Les travaux sur la rue venaient de s’achever ou presque. Nous marchions sur le marbre, le sol était fait que de cette matière pratiquement parsemée par des zone un peu rugueuse pour ne pas glisser. Nous marchions mon père et moi et apprécions le lieu où nous nous trouvions. Il y avait des enseignes de boutique très connu et ayant trouvé une place sur l’avenue, le luxe par excellence. Il y avait aussi ces kiosques à journaux de style haussmanniens placé sur un des lieux stratégiques de la rue. Je m’avance vers une vitrine d’une brasserie et je voie toute cette masse à l’intérieur de l’établissement très bien habillé. Je ne pense pas que c’était pour l’occasion mais les personnes devaient avoir l’habitude de fréquenter ce genre d’établissement de luxe. Je marche encore droit devant moi, ma respiration est forte les arbres de l’avenue sont éclairés tout le long de celle-ci, laissant vraiment une époque de fêtes. Mon esprit commence à être fatigué, mon âme est en surexcitation. Je réfléchi et une lassitude envahie mon esprit, je me dis il faut tout stopper. Comme si le bonheur que je vivais n’était pas vrai, pas réel, je n’avais pas le droit de vivre le bonheur actuel, je n’imaginer pas une fin à ce bonheur que j’éprouvé en ces lieux. Arrive le moment où la pression de ce moment de bonheur était trop intense en moi à fait en sorte de me poser sur un des bancs de l’avenue. Mon regard, avait les yeux pétrifier de joie et de peur inconnue se laisser transparaitre sur mon regard une sensation d’amour intense envahi mon corps. Quand j’y repense j’étais heureux d’être là avec mon père. Je dis à mon père que je pose un peu sur ce banc pour me reposer de mes émotions. Mais qui je suis pour être comme ça qui suis-je. Tant de questions de cette adolescence en cours. Toi lecteur de mes écris que pensez-vous cette manière de se remette toujours en question mais surtout de ne pas accepter ce bonheur du moment. Une jeune femme vint s’assoir à côté de moi sur ce banc des rencontres puisqu’elle est l’intérêt de mettre des bancs si ce n’est que de les utiliser le temps d’un instant. Cette femme était si particulière, si différente d’un simple parfum, beaucoup plus qu’une odeur mais la présence constante d’une entité manquante de ma vie de l’époque. Nous nous sommes souri en nous regardant comme une simple banalité d’usage. Elle était radieuse elle était d’un niveau que je n’étais pas encore allé jusque-là. Nos regards se sont croisés à plusieurs reprise. D’un geste lent j’ai avec ma langue amie humidifié mes lèvres, nos regards se sont croisés et j’ai vu et compris l’un des secrets de la vie. J’avais un désir fou pour cette jeune femme. Elle était habillée avec une mini-jupe, je me souviens encore de ces collant avec des motifs de roses. Elle sentait si bon, une odeur que je connaissais déjà, je ne parle pas de son parfum qu’elle avait mise pour cette soirée mais de son parfum naturel. Je parle de cette fraicheur qu’elle émané, une légère fraicheur de vie tout simplement. Elle sentait la liberté cette jeune femme sentait si bon. L’instant présent avec la présence de cette jeune femme faisait en sorte que la liberté qui émana d’elle refléta sur ma propre liberté. Nous étions tout simplement un soir de noël. Elle était maquillée très naturel sans trop n’y assez. Mon désir de lui toucher ses mains, m’envahi l’esprit et surtout mon entité ressentie cette chaleur. La fluidité de nos regard respective n’était aucunement dans l’insistance mais dans les énergies de chacun. Nous étions LIBRES. J’ai le souvenir de mon père non loin de ce banc venir me chercher, il comprit ce jour-là en me regardant où nous nous trouvions. Nous étions en fait tout simplement dans le futur ce soir-là à un niveau que je ne connaissais pas. C’était en décembre 1994, un an tout juste avant les nouvelles élections présidentielles de notre très chère république. Puis nous sommes rentrées à la maison familiale en voiture. Nous arrivions à la fin de nos vacances sur la capitale. Le repas de noël se passa à merveille, un repas de famille tout simplement, une famille réunie pour l’occasion de noël.
Les chevaliers cathares
Les croisades furent lancées afin d’évangéliser les peuples rencontrés sur les routes de la terre sainte. Ces preux chevaliers cathares faisaient partie entière de la religion chrétienne. Ils ont été instaurés dans le but même de positionner par la force le pouvoir du christianisme de l’époque. Des massacres sanglants ont été perpétués sur leur passage.
Après ces chevaliers avaient le rôle de protéger les fidèles sur les lieux de culte des routes en direction de la Palestine. La Palestine devait devenir un lieu saint de la chrétienté selon le Vatican de l’époque. Les preux chevaliers qui avaient bien combattus durant les batailles avaient le droit à un repas préparé par la gent féminine. Une mixture d’aliments était positionnée sur d’énormes tranches de pain comme un sandwich. Elles disaient à l’époque en se moquant, que Philippe le Bel devait avoir très faim. Ces chevaliers cachaient des trésors, contrairement à ce que les livres nous laissent croire, il ne s’agissait pas uniquement de richesses d’argents et de bijoux dorés ; mais de deux trésors en particulier. Ces deux fameux trésors sont toujours d’actualité à ce jour dans notre société contemporaine. Le premier est le contrôle total « d’une source » qui est visible sur la Terre uniquement la journée. Quant au second, c’est la base d’un divertissement souvent utilisé même dans notre société d’aujourd’hui. Les chevaliers Cathares parlaient le langage des anges afin de communiquer. Ils pratiquaient avec talent le chant lors de rites religieux, avec diverses variations de la voix. Durant une journée, le plus brave des chevaliers avait eu le droit de passer un moment privilégié avec la plus belle des femmes du royaume. Elle était de taille moyenne avec une corpulence un peu ronde. Elle avait aussi de très longs cheveux ondulés tombant jusqu’aux bas de ses cuisses de couleur dorée. C’était un mélange de roux et de blond. Elle était incroyablement belle et sentait très bon.
Elle habitait dans une demeure aristocrate située dans le sud-ouest de la France. Sa famille était issue de sang bleu. Elle portait le doux nom de Céline et avait fait vœu de chasteté. Lors de cette rencontre, ils se sont installés dans sa propre chambre. C’était une grande pièce avec le strict minimum. Un immense lit à baldaquin et une simple commode remplissaient la pièce. Ils se sont mis à discuter ; mais elle connaissait déjà très bien les bravoures de ce preux chevalier. Ils n’ont pas fait que l’amour comme on pourrait le croire mais cette rencontre a été bénéfique pour connaître la contribution qu’il a apporté au royaume de France. Céline et le chevalier se quittèrent après une longue discussion. Comme dans tout début d’un conte, d’un film ou d’une poésie, il y a un début et une fin. La fin s’approchait pour ce preux chevalier à pas de loup, jusqu’à cette nuit tragique, il fût brulé et décapité lors d’un bûcher d’hérétique. C’est alors qu’au même moment toutes les cloches se mirent à sonner dans tout le royaume laissant apparaitre son dessein pour l’avenir de tous les habitants du royaume.
Mirage 2000
C’est l’histoire d’un petit garçon vivant dans un village de campagne en l’an mil de notre ère. Tout le village le connaissait, des gens l’aimaient mais d’autres en avaient peur et le craignaient parfois pour des raisons stupides. Cet enfant avait peur de tout, il restait enfermer à longueur de journée dans sa maison quitte à ne pas aider ses parents dans les champs de récoltes. Un jour après que les récoltes de blé soient terminées, un bruit sonore d’une très grande ampleur retentit dans le ciel allant dans tous les sens. Un Objet Volant Non Identifié et inconnu à cette époque apparue aux yeux des fermiers qui étaient face à ce phénomène. Cet Objet Volant Non Identifié s’est servi du champ agricole pour atterrir. Les paysans sur place étaient mitigés en voyant cette scène ; ils restaient perplexes pour la plupart, et se demandaient si ce n’était pas un mauvais présage pour le village et les habitants. Quelques secondes plus tard une partie de cette OVNI s’ouvra en hauteur laissant apparaître un être vivant à l’intérieur. Lorsque cet être sorti de cette machine volante les protagonistes de la scène ont pu apercevoir un être de même corpulence que ces paysans à la différence qu’il avait une taille plus grande. Il portait sur sa tête un casque. Ainsi on ne pouvait ni voir son visage ni ses yeux dans les détails. Une longue distance séparait cet être de ces paysans. Quand leurs craintes se sont estompées ce groupe de fermiers s’est approché de cet inconnu. Plus ils s’approchèrent de l’inconnu moins ils avaient de craintes. Ils se sentaient même de mieux en mieux, il y a même une paysanne qui disait : « c’est un ange qui est atterrie sur notre terre ! ». Seul un fermier a osé s’approcher de lui de très prés. C’est alors qu’ils parlaient entre eux le même langage. L’inconnu parla d’un petit garçon qui se trouvait dans le village et qui est essentiel et représentait l’avenir de tous. L’inconnu disait qu’il entendait les battements du cœur de cet enfant depuis le ciel. Il a même dit qu’il aiderait dorénavant lui-même les fermiers pour les bonnes récoltes des denrées alimentaires afin que cette petite bourgade soit prospère par la suite. Il dévoila son visage au fermier. Il pouvait étonnement visualiser son visage et constater qu’il s’agissait d’un visage humain mais nettement plus évolué en constatant des traits fins qui l’affinent et rends un visage doux et soigneux. Il portait aussi une paire de lunettes solaires pour dissimuler ses yeux. Cette fois c’est l’inconnu qui a eu peur de se dévoiler au paysan. Mais après un bref moment de discussion il se lance et enlève ses lunettes de protection. Le paysan était étonnement surpris par ce qu’il voyait et n’en croyait pas ses yeux. Les yeux de l’inconnu avaient la même forme que les yeux d’un faucon. Il avait de très beaux yeux, il ne montra son regard qu’un court instant puis remis ses lunettes en saluant d’un signe de la main les paysans et repartis dans les airs en s’aidant de la longueur du champ comme piste de décollage. Le paysan était certain d’avoir rencontré un ange. Mais le plus surprenant dans cette histoire, l’inconnu n’était nullement un extraterrestre venant d’une galaxie lointaine, mais d’un homme venant d’une autre époque beaucoup plus évoluée que dans la période du Moyen-Âge. C’était un pilote de l’armée de l’air volant avec un avion de chasse : « Mirage 2000 ». Grâce à la technologie de son bolide allant à la vitesse du son et avec des calculs mathématiques compliqués il avait réussi à faire une boucle dans l’espace-temps, ainsi il a réussi à rejoindre le lieu exact où vivait cet exceptionnel enfant.
Autoportrait
Je suis né le 28 janvier à 10 heures 50, dans la banlieue de Paris, plus précisément dans la ville de l’Hay-Les-Roses. Un parc se situe à proximité de la clinique où je suis né, il est rempli de différentes sortes de roses. Maman m’a raconté que le jour de ma naissance il y avait un beau et grand soleil qui éclairait le parc. Je suis le dernier d’une famille de deux enfants. Nous habitions, mes parents, ma sœur et moi à Ivry-Sur-Seine. Compte-tenu de mon bas âge j’ai peu de souvenirs de l’époque où j’habitais dans la banlieue Parisienne. J’avais l’impression que la chambre que je partageais avec ma sœur était immense alors qu’elle était tout le contraire. Ma mère travaillait comme dactylographe et mon père étais dans le milieu de l’électronique, il construisait et réparait des téléviseurs. Notre maison se situait à quelques mètres de chez mes grands-parents maternels. J’allais chez eux manger tous les week-ends. A cette époque, je n’étais pas compliqué vis-à-vis de la nourriture. C’est même à cette période-là que j’ai mangé mes derniers filets de poisson beurrés à la poêle. Un soir, quelques années plus tard, en sortant d’un restaurant de poisson dans la ville de Sète pendant les vacances au bord de mer, j’étais écœuré par tous les produits en provenance de l’océan. Mon corps régurgitait ce genre d’aliment je ne les supportais plus, et ce goût iodé me dégoûtait sensiblement. A la fin des repas, chez mes grands-parents, je mangeais toujours une pomme comme dessert et un yaourt. Je récupérais toujours les pépins que je conservais dans un sopalin pour les offrir à ma mère afin qu’elle plante un pommier dans le jardin. C’était est l’insouciance de mon enfance. Mon père a accepté une mutation professionnelle ; alors mes parents, ma sœur et moi sommes descendus en direction de la province. C’est aux alentours de la ville de Grenoble que nous y trouvions un nouveau foyer, pour débuter une nouvelle vie à la campagne, loin du stress de la ville lumière. Ma mère décida d’arrêter son emploi de dactylographe et devint à partir de cet instant, mère au foyer. Mon père est devenu représentant dans l’industrie de l’électronique. J’avais à l’époque trois ans. J’ai recommencé mon parcours scolaire dans ce nouveau village. Un de mes souvenir marquant, c’est lors de mes cinq ans, j’étais debout en me tenant à la table basse du salon, j’ai écrit mon premier mot sur une feuille à coloriage. Sur cette table se trouvait le catalogue de la Redoute, sur celui-ci était écrit un slogan : « A la Redoute » ; Donc ne sachant pas lire j’ai uniquement écrit un mot, un simple mot qui n’avait pour moi aucune signification, j’ai écrit en lettre majuscule : « ALA ». Est-ce un but à atteindre ou plutôt un rêve à toucher. Une chose certaine, j’ai débuté avec des difficultés en orthographe. J’ai beaucoup peiné à apprendre à lire en classe de CP. C’est avec l’aide de plusieurs personnes extérieures que j’ai pu rattraper mon retard afin de combler mes lacunes. Par chance, l’année de mon cours préparatoire, c’était le bicentenaire de la Révolution Française, cette année-là la République Française était animé par plusieurs festivités où les enfants participaient tout au long de l’année. J’avais beaucoup de copains et copines de mon âge. Je m’amusais énormément, j’avais une vie de petit garçon épanoui. Le week-end je me baladais avec ma sœur et mes parents en voiture sur les villages de montagnes de la région. Ma sœur et moi n’aimions pas ce genre de balades rébarbatives et répétitives, sauf pour mon père qui était en extase devant cette nature qu’il n’avait pas l’habitude de voir. Le samedi soir, en famille, nous regardions, à la télévision le Top 50 sur Canal+. Pendant notre temps libre, ma sœur et moi, ne rations jamais l’envie de nous promener ensemble pour s’amuser sur les champs agricoles des plaines avoisinantes. Cette époque est révolue mais tellement riche en souvenirs enfouis dans ma mémoire. Nos parents ne nous donnaient pas vraiment d’heure pour rentrer à la maison mais dès que le soleil se couchait il fallait impérativement rentrer.
Pour ces escapades d’aventuriers je prenais toujours un long bâton de bois pour marcher, comme un berger avec son troupeau. Les nombres de sorties que nous avions fait ne se comptaient pas, elles se sont déroulées à l’âge de huit et dix ans environ.
Nous nous inventions des histoires sur plusieurs sujets et riions à tout-va comme des anges. Nous étions les maîtres du monde !!! Nous inventions des paroles de chansons avec leurs refrains et leurs rythmes, puis nous les chantions. Une fois nous avions ouvert la cage aux poules de la ferme voisine parce que nous trouvions triste le fait d’enfermer des animaux. C’était une incompréhension vis-à-vis de nos âges. Nous sentions toutes les odeurs de la nature comme la transpiration de la Terre, ça sentait si bon !!! Le soir avant de rentrer dans notre maison, nous nous posions à côté du portail en bois pour faire une sorte de bilan de nos exploits. Nous parlions sans arrêt, nous ne voulions pas que notre journée s’arrête.
Je disais souvent à ma sœur : « lorsque je vais franchir la porte d’entrée de la maison, je ne serais plus là, je pars . C’est une chose que je sentais en moi, je ne saurai expliquer le pourquoi mais à l’intérieur de moi j’en étais certain, comme une intuition. J’étais si heureux de ces balades avec ma sœur que je ne pouvais pas imaginer une fin. J’avais pendant des années de grandes difficultés à dormir le soir seul dans ma chambre. J’avais aussi très peur du noir, j’entendais en plus le bruit du bois qui craquait au plafond de ma chambre. Je faisais des cauchemars que je vivais intensément pendant mon sommeil. Ma sœur a ravivé involontairement un jour cette peur en se moquant de moi, en parlant d’un loup garou ; dans ma tête une image s’est figée représentant un être sombre. J’ai aussi commencé à avoir une crainte de la mort surtout celle de ma mère. Je pleurais souvent le soir avant de m’endormir. Dans la nouvelle maison de mes parents, j’avais ma propre chambre avec un lit, une table de nuit, un bureau et une grosse armoire de rangements. Elle était presque toute en bleu ciel ; les draps, le papier peint à motifs de bateaux et l’abat-jour de ma lampe de chevet. A cause de ma peur du noir, j’avais toujours une veilleuse allumée durant la nuit et ceci même pendant mon adolescence. C’était aussi mon terrain de jeu, je m’asseyais souvent sur la moquette et sur les plinthes en bois le long du mur, je collais des fils électriques pour me divertir afin de brancher tout mon matériel. J’utilisais les outils de mon père pour m’occuper. Un jour, j’ai rêvé d’une chose extraordinaire qui me semble aujourd’hui encore si réelle. Une fois, j’essayais de brancher quelques fils électriques quand soudain, j’aperçu l’hologramme du visage d’une femme assez jeune sortant de la prise téléphonique. Je n’avais pas peur mais ce visage n’était pas parfait, il n’y avait qu’une partie normale de son visage et l’autre partie était malformée à cause de parasites. C’est alors que je me suis mis à rire comme un enfant et la communication fut interrompue.
A l’âge de dix ans, de grands changements dans ma vie sont survenus. C’est à partir de cet âge que j’ai eu ma télévision personnelle. Cela peut paraître bizarre et même pour certaines personnes un long débat d’avoir sa propre télévision si jeune, mais pour moi ceci a changé ma vie. J’ai pu apprendre avec les documentaires, j’ai voyagé, j’ai rêvé avec tous ces films diffusés et tout ça avec ce simple outil moderne du XXème siècle. J’ai voulu entrer dans une religion par rapport à mes origines chrétiennes avec l’accord de mes parents. A dix ans, j’allais tous les samedis au catéchisme de la paroisse de mon village pour préparer mon baptême et les autres cérémonies religieuses qui suivent. Lors de la messe de ma première communion un an plus tard, j’avais ces quelques paroles dites mots pour mots : « je crois en une force immense et unique, une force indestructible, un amour si puissant ». Voilà telle était ma croyance de mes onze ans, c’est d’ailleurs aujourd’hui la même croyance que je porte en moi. Lors de mes douze ans, je passais ma deuxième communion. Je portais cette fameuse robe blanche tenant une longue et fine bougie blanche. Je n’éprouve aucun regret de mettre fait baptiser et communier. Je ne remercierai jamais assez mes parents d’avoir attendus que je décide par moi-même ce choix, mon choix. A treize ans je commençais à me sentir différent, je ne sais pas pourquoi mais j’avais l’impression qu’une partie de moi me manquait. Grâce à mes notes scolaires dans la moyenne, mes parents et grands-parents m’ont offert un deux roues avec lequel j’ai pu me promener dans les villages pour rencontrer mes amis. A l’époque j’écoutais la chanson électro « BBE », les paysages de ma région était recouverts de neige, c’était très beau et merveilleux. Un de mes passe-temps favori était de bricoler mon deux roues que je bichonnais. J’ai commencé à fumer à l’âge de quinze ans, je me souviens de ma première Marlboro en cachette au-dessous du cerisier du jardin, par peur de d’embaumer mes vêtements. Tous les samedis de mon adolescence je partais au centre-ville de Grenoble pour aller au cinéma et au fastfood. Le dimanche je me le réservais pour louer une cassette au vidéo club. J’étais un grand passionné de cinéma, de tous genres sauf les films d’horreurs qui me faisaient peur. Pendant une période, le soir venu je m’asseyais sur le rebord de la fenêtre de ma chambre pour fumer une dernière cigarette. Au-dessus de la montagne nous pouvions contempler admirablement une comète connue à l’époque sous le nom de comète Hale-Bopp. Ce phénomène resta visible à l’œil nu durant des mois entiers dans le ciel. C’est en apprenant le décès de la princesse Lady Diana morte lors d’un accident de voiture une nuit du mois d’août 1997, que j’ai laissé couler quelques larmes sur mon visage. Une époque s’est finie, une page se tourne.
Gaïa
Il était une fois dans une galaxie,
Des forces surhumaines ont combattues pour le bien afin de donner la vie. Il y avait dans cette galaxie une planète qui se nommait Gaïa où se trouvait un immense jardin que l'on appelait jardin d’Éden. Ce lieu est tout simplement notre géographie actuelle, c’est le paradis d’aujourd’hui où les éléments de la vie sont liés et interagissent entre eux. Cette planète est aussi appelée la planète Bleu, c’est la Terre. Deux entités sont alors apparues dans ce jardin, deux géants l’un de sexe masculin et l'autre de sexe féminin. Ils étaient tous les deux dénudés mais unis par le lien du ciel qu’il les avait installés là. Au cours de leur exaltation de la planète et en posant leurs pieds est arrivé ce désir entre deux personnes comme la chaleur brulante des laves d’un volcan coulant dans leurs veines. Arrive ce fameux serpent très connu qui tenait dans sa gueule une pomme. Cette offrande a été acceptée volontairement. En acceptant ce présent provenant de cet animal ingrat ; Ève et Adam connaissaient-ils les suites que cela pouvait engendrer ? Sans parler du plaisir que cela pourrait leur procurer. Il s'est produit ce que l'on sait : Eve a croqué dans la pomme d'Adam et se fut la colère des cieux ; cela a eu comme résonnance celle du début de la condition humaine. Le plus complexe à assimiler n’est pas cette histoire simple mais ce qui en résulte, c’est-à-dire la différence entre l’homme et la femme par rapport à ce qui a été retranscrit dans les manuscrits et malheureusement l’interprétation faite par la suite. Nous sommes au XXIème siècle, si nous prenons comme image la Terre comme la Mère nous réfléchirons peut-être tous différemment.
La femme ne serait plus considérée comme un objet mais d’un être complémentaire. L’homme est censé comprendre durant son éducation la nécessité de protégé celle-ci. C’est un fait inaliénable de la vie, prouvé d’après des siècles d’histoire. Nous réaliserons tous alors que nous sommes tous sortis d’un trou comme les laves d’un volcan. Il existe plein de versions sur Adam et Ève. Voilà le début de notre condition humaine. C'est une manière de se désinculper de nos désirs puisque nous sommes tous identiques face à cette pomme que l'on croque tous à notre manière.
Paul et l’Épée
Le jour où tout a basculé. Paul ne s’en est pas rendu compte tout de suite. Paul était un jeune homme arrogant et impulsif. Il était libre de penser et croyait faire tout ce qu’il lui plaisait. Certains hommes et femmes en étaient jaloux. Il avançait dans sa vie en pensant que tout est écrit depuis la naissance. Paul savait la chance qu’il avait de vivre dans une société contemporaine et moderne du XXIème siècle. Le fait de voir chaque jour la beauté des rayons du soleil qui chauffe le corps et le cœur des Hommes est une chance. C’est aussi le moyen de s’apercevoir que la vie est belle, même si chaque personnes a quelques fois des par moment des soucis. Paul avait les pieds sur Terre, il avait en lui sa propre théorie bien écrite, celle de l’évolution de l’espèce. C’était l’opposé de la théorie de Darwin. Il savait que dans chaque époque de la vie, si par moment il y a une fin il disait que le bien l’emportait toujours sur le mal. Il rajoutait même que le mal peut dévaster mais au fond de lui il savait que le bien l’emportait. C’était sa vision, cette vision qui semble peut-être utopiste, est tout compte fait celle d’un visionnaire puisqu’elle ouvre les portes à chaque individu. Pour comprendre cette théorie, il faut imaginer les Êtres du « bas » monter de façon palliative vers le haut et ce non dégressive, sans s’entretuer. La vie sur Terre a commencé dans les Océans, puis la vie est sortie de l’eau, cette vie après plusieurs mutations est devenue Homme, puis elle deviendra selon cette théorie ce qu’elle doit devenir. C’est-à-dire non pas des surhommes mais une version améliorée de l’Homme, celle des Anges, puis viendra au-dessus d’eux celle des archanges puis celles des dieux. Un jour, la pendule de l’horloge s’arrêta brusquement de basculer. Paul fit le plus difficile cauchemar de sa propre existence. Il se retrouva sous terre dans les bas-fonds de l’enfer où aucune luminosité ne laissait apparaître cette chaleur tant convoitée par les vivants. Seuls des foyers de faible luminosité éclairaient à peine les lieux. Cette lumière de couleur verte ne l’apaisait en aucune façon. Dans son cauchemar, il se trouvait plaqué au sol dans une pièce qui ressemblait à une cave. Sur l’une de ses chevilles il y avait une chaîne qui était connectée à un générateur électrique afin d’être électrocuté. Paul avait très peur pendant ce cauchemar. Il se demandait dans sa tête s’il était mort et si c’était son jugement dernier. Une voix ingrate retentit d’un coup dans la pièce, une voix d’outre-tombe. Cette voix ne lui était pas familière et lui faisait peur. Commence une improbable conversation sans raison apparente sauf celle de jouer avec sa vie. Paul se doutait de ce qu’il allait lui arriver. Dans l’énervement et le brouhaha de la conversation, Paul commença à se blesser la jambe avec une scie à métaux qui se trouvait à proximité de lui. Il avait horriblement mal quand soudain il senti quelques pulsations électriques sur sa jambe. Paul était en larme et ne pouvant pas aller jusqu’au bout de l’acte demanda à cette voix : Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Il lui dit son nom et rajouta : je suis ton Dieu. Il portait le nom d’un très ancien chef pendant l’empire Romain qui avait été connu pour avoir assassiné des milliers de jeunes femmes vierges pour lever le soleil dans le ciel. Comme ces vieux dirigeants Incas qui vénéraient aussi le soleil en faisant des cérémonies de sacrifices de jeunes femmes et hommes. Pour Paul ce n’était pas son dieu et lui répondit ; « Monsieur » en sachant très bien qu’il allait mourir dans son cauchemar. Paul se mit à entendre une musique de son groupe préféré « Era », la musique s’intitulait « I believe ». C’est alors que ce personnage à la voix ingrate commença à l’électrocuter de nouveau. Il avait très mal et se mit à hurler de douleur et cria à plusieurs reprises sur la musique « J’y crois encore » sans s’arrêter avant de succomber à ses douleurs. Mon cauchemar était terminé. Paul était un Être à part. Lui seul possédait ce présent provenant des cieux, cet objet que cette voix n’a pas vu et ne pouvait pas voir, une épée. Cette épée de Justice que Paul possédait depuis sa naissance. Il se réveilla enfin un matin, matin tout tranquille ou presque, puisque ce cauchemar lui avait laissé des séquelles psychologiques qui ont mis du temps à disparaitre.
Rencontre du deuxième sexe
Un regard gêné, remplie d’amour, aux yeux doux, des traits fins du visage, une beauté indéfinissable. Des questions trouvant aussitôt des réponses. Comment faire ? toutes ces dernières années d’une solitude sentimentale et charnelle. Je m’apprête à lui parler. Nos yeux se croisaient à de multiples reprises, lorsque c’était le cas ce parfait alignement provoquer une éclipse de nos corps unis l’un avec l’autre. Il y avait toujours ce même plaisir de se voir, nous cherchions même tous deux de croiser notre regard sans fin. C’était un coup de foudre. Ce jour-là, je ne sais pas réellement ce qu’il s’est passé mais j’ai compris que, c’était un nouveau cap, dans ma vie. Elle était là face à moi, était si jolie à mes yeux, à cet instant. J’envisageais rapidement à lui parler quand bien même je me préparer à trouver les mots que j’allais à lui dire, elle surgit à mes côtés en bas du bâtiment de restauration sur notre lieu de travail et elle commençait la conversation. L’Eclipse avait bien eu lieu. Elle me demanda mon prénom avec légèreté : « Mais comment tu t’appelles, toi ? » En me faisant remarquer par sa posture que je lui plaisais fortement. Elle me demanda avec redondance : « Tu es si célibataire ? Tu vis seul ? ». La première impression qu’elle m’a laissé entrevoir c’est le plaisir qu’une telle femme me procurer d’être à ses côtés. Nous ne rencontrons pas les gens par hasard. T’elle est une de mes devises de la vie. Je lui répondais avec timidité. Tous deux nous savions que notre rencontre allée se poursuivre dans le futur. Il y aussi cette remarque sur mon physique qu’elle me fut portée, sur mon regard aux yeux vert qu’elle n’oublie pas mentionner. Je lui répondu qu’une telle beauté de femme est digne un cadeau ; quelque chose comme ça, j’étais intimidé. Nous nous sommes mis à parler de choses et d’autres. Je lui propose de continuer notre conversation ensemble au centre-ville après le travail, invitation qu’elle accepta avec mon plus grand plaisir.
Nous arrivons bientôt c’est au prochain arrêt.
- Mais où tu veux m’emmener exactement ?
- Un lieu convivial, pour être tous les deux, fait moi confiance ?
- Regarde c’est juste là.
Quand tout d’un coup, les portes du tramway s’ouvrent. A l’extérieur la renaissance des fleurs et de la nature se fait sentir. La nouvelle saison s’annonce comme « un grand cru », d’autant plus avec cette femme qui m’accompagne.
Sur le moment nous pouvions entendre les petits cris d’un colibri qui d’après la légende est annonciateur d’un renouveau. Les fleurs des marronniers reprennent leurs couleurs cycliques. Les phases naturelles des saisons estivent d’une nature, belle et chaude.
- Tu veux t’assoir où ?
- Mais c’est un bar où tu m’emmène ?
- En quelque sorte ça y ressemble ; c’est les nouveaux lieus de consommation de boissons, en plus moderne, disons-le que dans les années 90.
- Alors on s’assoie en terrasse, ici çà à l’aire sympa
- Oui mais avant il faut que l’on aille commander nos boisons à l’intérieur.
- Ok ça marche
- Tu veux quoi ?
- Une bouteille de Pulco citron,
- Tu veux manger un encas en plus ?
- Non ça ira, c’est très gentil de ta part.
- Moi aussi je vais prendre juste un jus de pomme.
- Puis nous nous sommes posés là où nous avions vu la place.
- Ça me fais plaisir que t’es accepté mon invitation, je suis sur un nuage,
D’être ensemble avec toi, j’aime ce moment.
- Pas toi ?
- Oui
- Tu sais que tu es beau ?
- Thinks, mais c’est de toi que j’aimerai avoir des détails.
- Tu as quel âge tu m’as dit ?
- J’ai 27 ans
- Moi j’ai 30 ans, je suis célibataire.
- En fait je suis née en fin d’année, je n’ai pas tout as 27 ans encore.
- T’es de quelle signe toi ?
- Verseau, signe d’air, je suis du mois de Janvier.
- Et toi ?
- Capricorne
- Signe de terre
- Oui
- Comme ça selon nos signes distincts nous devrions être compatible, il faut après regarder les ascendants.
- Je pense quand je te vois, que nous sommes bien ensemble.
- j’ai lu tout un tas de truc sur l’astrologie, j’ai même failli devenir voyante-astrologue
dans un cabinet il y a peu de temps en arrière.
- Ah bon tu regarder dans les boules ?
- Arrête j’ai vraiment un don.
- Moi c’est la numérologie qui m’intéresse le plus, avant les signes du zodiaque et les
signes de l’astrologie chinoise.
- J’avais aussi un don lorsque je étais plus jeune. Oh allant tour de mes 20 ans., ça se traduisez par une forte sensibilité, lorsque je toucher une zone du corps, je capter toutes les ondes, c’était comme du magnétisme.
- Oui, nous appelons ça aujourd’hui l’empathique.
- J’ai l’impression d’avoir déjà vécu cette scène,
- Ca te le fais des fois ?
- Oui ça m’arrive
- T’as des enfants ?
- Non et toi ?
- Non
- Toi tu en veux ?
- Oui et toi ?
- Oui mais franchement, à mon humble avis il faut être en mesure financière pour leurs
éducations, se nourrir bref afin avoir une vie de famille convenable, Je ne cherche pas a en
avoir dans l’immédiat mais si ça vient ça vient et je pense que je suis encore trop jeune.
- Moi j’en veux.
- Comment tu appelleras ton enfant ?
- Si c’est une fille je l’appellerai Ania et un garçon je l’appellerai Madou.
- C’est assez sympa.
- Moi si j’ai un fils il s’appellera Adam et pour le nom si c’est une fille je la nommera
Lilas
- C’est beau comme prénoms.
- Ta boisson est bonne ?
- Fraiche, mais assez bonne.
- Tiens je viens de m’apercevoir que demain nous sommes le 11 novembre, c’est un
jour de repos. Ça va faire du bien de se reposer chez soi.
- Je t’invite chez-moi si tu veux.
- Et après ?
- Après nous serons le 12 novembre ?
- Je ne plaisante pas, moi.
- C’est juste pour détendre l’atmosphère, que je te dis ça.
- Imbécile ! en m’adressant son plus beau sourire.
- Tiens je t’ai dit que la numérologie m’intéresse, et théoriquement après avoir fait le
tour de la question la fin du monde est prévue pour l’année 2359.
- T’es rassurant comme type.
- C’est cool.
- Tout à l’heure je t’ai entendu d’une oreille curieuse parler avec tes collègues, sur ta philosophie ce que tu leur disais semblais assez juste.
- Tu m’espionne ? (Suivie d’un très long sourire entre eux)
- Comme quoi, par exemple ?
- Tu leurs disaient qu’il faut relativiser sur les choses, les actes, les faits, que tout le
Monde est innocent, car pour toi les gens sont dans l’ignorance.
-
C’est vrai, ça dépend des cas je te le précise.
-
Après tu parler aussi de l’énergie positive d’une une journée de travail.
Tu disais aussi que l’on ne peut pas vivre dans un environnement néfaste à soi-même.
- Parlons d’autres choses, s’il te plait ma belle, parce que si nous devions refaire le
monde, nous n’aurions peut-être pas assez de temp.
- C’est quoi tes rêves ?
- C’est que nous passions la vie ensemble.
- Sans déconner répondis-elle.
- Pour moi c’est de fonder une famille et d’être heureuse.
- Et toi, plus sérieusement ?
- C’est pareil pour moi.
- Moi tu veux connaitre vraiment mon rêve ?
- Oui toi !
- C’est de sauver des vies.
- Tu veux dire quoi par « sauver des vie » ? être médecin ? infirmier ? pompier ?
- C’est de sauver des vies tout simplement,
- Ah je voie tu veux être Batman en quelques sortes.
- Pas vraiment. Depuis que je suis petit j’ai cette idée, cette idée.
- Et comment tu veux faire ?
- Je ne sais pas encore, ce n’est que des théories mais les solutions sont dans mon esprit.
Si tu veux je t’explique, je sais qu’il existe…, comment te développer, un niveau où les problèmes sont moindres, voire inexistant.
- Tu crois en ça ?
- Au paradis, quoi ?
- Oui en quelque sorte.
- Pour moi le paradis est avant tout là où nous vivons c’est dans la société
dans laquelle nous sommes.
- J’intègre juste l’idée de position avec celle de dimension.
- Pour ce qui concerne les dimensions les peuples asiatiques que ce soit les chinois et
Japonais ect. Ont été les premiers à appelaient cela le « multivers ».
- Intéressant continue…
- J’ai lu une interview du créateur de Facebook, l’autre jour, intéressante, il parlait de sa
vision sur l’évolution de son réseaux sociale. Il projette Facebook vers des monde
artificiel, des univers où notre profils deviendrai un avatar , où la réalité deviendrai une
réalité augmentée et plus inventé ou réinventé par l’utilisateur de Facebook.
- T’es toujours avec moi ?
- Oui je t’écoute ;
- Oui continue…
- Nous parlions de ton rêve.
- Si je parle de ça c’est qu’il y a un lien avec mon rêve et celui d’être projeter vers des
Dimensions où les problèmes sont moindres et inexistant, c’est de monter en haut.
- Oui, je vois, tu veux aller sur la Lune, si je te comprends bien ?
- Tu ne crois pas si bien dire, parce que d’ici les dix prochaines années, les Étatsuniens
y retournent avec cette fois une coopération international.
- C’est prévu quand ?
- Vers 2027.
- C’est un rendez-vous important.
- Avec les avancés scientifique ; médicales, technologiques, notamment dans la physique
Quantique moderne, c’est très prometteur.
- Si tu le dit.
- Mais oui…
- Sincèrement, ça va changer ta vie si nous retournons sur la Lune.
- Oui et je serai existé comme un gamin.
- Et quels est le lien entre la Lune et le fait de vouloir sauver des vies ?
- C’est que tout le monde monte ensemble.
- La hauteur, ne sera pas la même que là où nous sommes aujourd’hui.
- Intéressant ton idée mais ça reste utopiste
- Nous verrons, crois-moi.
- Alors tu passes chez moi, alors c’est décidé ?
- Je t’ai dit oui.
- Et le lendemain tu serais d’accords de rester avec moi ?
- T’es pas un peu cucul la praline, toi des fois…
- Ça c’est de l’expression bien de notre époque, cucul la praline.
- Tu as été à l’école jusqu’où ?
- Jusqu’en terminal générale scientifique
- Super.
- Moi c’est pareil mais en terminal technologique
- Bien
- Le but c’est le diplôme, tu sais.
- Il ne faut pas trop que tu penses aux futur trop longtemps mais au présent car rien n’ait jamais définitifs, une rencontre peu chambouler un destin aussi positivement que celui que nous vivons.
- T’est parole me font du bien, Madame…
- C’est là où je constate la différence entre les hommes et les femmes, la femme est plus dans l’instant présent, plus simple alors que l’homme cherche toujours quelques choses de plus grand que lui-même.
- Toi je te veux.
- Je passe chez toi.
- Super !
Ils quittèrent leur place de débit de boisson et sans même le savoir a ce jour là une. Etoile venait de naître dans le ciel, ils vécurent heureux, une histoire de couple, une histoire d’amour…
Ania
Chère Ania,
Ma douce, ma belle, je t’écris en cette soirée du 8 octobre 2022. Je voulais te parler d’une époque. Je vais te ramener en arrière sur un lieu où tu as habité, ainsi que tous les 3, Adam n’étais pas encore né. C’est un lieu un peu particulier. Ta mère et moi nous y avons emménager dans ce lieu début d’année 2015 jusqu’aux 12 Mars 2021. Je t’en parle parce que c’est un lieu qui a marqué ma vie ainsi que ta maman et toi aussi Ania puisque c’est le tout ton premier lieu de vie où tu as vécu.
Je voulais juste te dire : « si je ne suis pas descendu de l’immeuble les Jonquilles c’est pour toi, car tu étais avec moi. »
Cette phrase est vraie, ce fût une époque formidable.
Passe une agréable journée,
Ton Papa
Jean-Baptiste
C’est l’histoire d’un type
C’est l’histoire d’un type qui se regarde dans le miroir et qui s’écroule ; le type c’était moi. Ce jour-là j’ai compris que je ne serai peut-être pas immortel. Je n’ai rien vu venir, j’ai perdu connaissance pendant 2 à 3 secondes, avant de reprendre connaissance. Ce passage faisait suite après trois semaines de rééducation cardiaque et de prise de médicaments prescrit par mes cardiologues. Lors de mon réveille, ma fille avait entendu quelque chose de bizarre se passer dans la chambre. Accouru en direction de la chambre, je l’entendis m’appeler : papa ? Mon corps gisait par terre sur le sol, j’ouvre les yeux. Moi-même étonnais de ce qui s’était passée. Ce que je comprenais, c’est que mon corps toucher le sol, mes yeux s’ouvrit assez rapidement, sans aucune peur. J’ai tout simplement perdu connaissance.
En effet, à partir de la mi-juin ma santé commençais à se détériorer. Ça faisait plusieurs semaines qu’elle se dégradé de jour en jour. J’ai pris conscience des premiers symptômes de mes problème lors de la sortis de fin d’année de formation. Cette reconvention professionnelle est une aubaine pour tout vous dire. L’examen final m’avait procuré un grand stress comme tout étudiants finissant ses études, l’enjeu est important pour son futur professionnel d’autant plus c’est un évènement majeur vis-à-vis de l’âge qu’est le mien et avec deux enfants à nourrir. Mon statut professionnel est apprenti pour la restauration de la ville. Je ne suis pas fonctionnaire, non loin à l’idée et l’envie de vouloir le devenir, un jour. Dans la vie de la société professionnellement parlant il faut avoir des projets mais nous sommes quand même soumis à la dure loi de la réalité que demain nous ne savons pas de quoi est fait. Il faut vivre le moment présent avec des ambitions mais mes nouveaux problèmes de santés commençaient à me préoccuper. Il fallait savoir ce qui se passait dans mon corps. Tout a commençais un jour après les examens passer ; mes camarades de formation et moi-même sommes donc sortis tous ensemble pour une visite d’un des musées. Nous y sommes aller à pied, ce musée se situe sur les hauteurs de la montagne de la Chartreuse, une des montagnes qui entoure la métropole grenobloise. C’est à partir de ce jour-là précisément que je constate que quelque chose ne va pas. Lors de la monté jusqu’au musée une fatigue physique se propagé de plus en se traduisant par une amplification d’ essoufflement anomal de ma respiration. Nous sommes au mois de juin. Ce que j’allais découvrir prochainement était plus grave que ce dont j’imaginer. J’ai pris rendez-vous avec mon médecin généraliste, à plusieurs reprises, d’examens en examens effectué à l’extérieure de son cabinet. J’allais toujours à mon travail mais mon corps pouvait lâcher à tout moment, je le pressentais en moi, ma respiration était forte et saccadé. Peu de temps après mes rendez-vous avec mon médecin, un coup de fils urgent afin d’effectuer un examen beaucoup plus poussé demandé par mon médecin qui je crois commençais à comprendre d’où venais le problème. J’avais un rendez-vous programmer pour faire un scanner pour approfondir les recherches il est beaucoup plus pointu pour trouver précisément le ou les problèmes qu’un simple électrocardiogramme habituel d’un suivi normal chez un généraliste et les prises de sang. Le rendez-vous est fixé dans une clinique du bassin grenoblois assez rapidement. Mes nuits je l’ai passé très difficilement déjà. Je n’ai pas pu aller au rendez-vous dans cette clinique car la dernière nuit passé chez moi fut chaotique. Il fallut appeler les urgences le 112. Ma femme et moi nous avons dû appeler les urgences, les secours, je n’allais pas bien. Après avoir attendu qu’un médecin du SMUR me rappelle suite au coup de fils soit plusieurs minutes, une à deux heures d’attente pour tout vous dire, le médecin urgentiste m’envoya les pompiers à domicile pour m’amener aux urgences du CHU afin de voir et comprendre le problème actuel et pour avoir le plus de détails sur mon état physique et approfondir mes explications données au médecin urgentiste. C’était le début de la fin de mon monde Après être arrivé aux urgences et m’orientant de box de soin en box pour une bonne prise en charge. On me prit ma tension, une prise de sang, une fois que le résultat sanguin arriva on m’emmena aussitôt à la salle du scanner. Le scanner une fois mit en route je me suis tombai en sanglot en essayant de cacher mes larmes au personnel médicale. Je ne savais ce qu’il m’arrivé. Sincèrement avec les problèmes de respirations s’accentuer en cette soirée-là. Je pensais que ma vie allais s’arrêtait, les médecins étaient concentrés pour comprendre ce qui n’allais pas mais rester assez vague aux réponses par rapport aux peu de questions que je leurs posaient. Passé quatre heures du matin et après les résultats du scanneur on me monta dans l’unité de cardiologie du CHU. Le pronostique était tombé, problème cardiaque. Age 40 ans sans aucun antécédent médical de ce genre auparavant. J’ai passé plus de la moitié de ma vie a me battre avec des problèmes survenue après mon adolescence soie ces 20 dernière année de mon existence. Ce qui me fait tenir dans ma vie c’est d’être cadrée avec ma vie de famille, soit marié et deux enfants ce sont mes antidotes avec aussi surtout avec mon travail que j’affectionne passionnément puisque c’est aussi ça qui me stabilise entièrement, tout est relatif dans ma vie on peut croire que tout est faux c’est une question de point de vue parce que quand il y a d’ennui, des emmerdes ils sont bien réels. Si un tel concept est possible alors j’appellerai ça le bordel du bas. En tout cas pour moi qui croyais au bon dieu, et qui essayé en vain dans le passé de ressentir sa présence, en priant tout simplement. Je ne savais pas les complication qui allait arriver dans les 6 prochains mois qui suivirent ; c’est pour cela que je prier jésus christ, en vain ça m’apaisé. Sans le savoir avant le mois de décembre j’allé dépasser l’entendement de mes rêves de toucher peut-être une dernière fois le sacré. Être con encore une fois comme dit une des chanson Jacque Brel. Mais je fus seul encore dans ma tête. Ces nouveaux problèmes de santé au niveau du cœurs sont en réalité la fin de mon monde, mon monde allait s’écroulé d’ici quelques mois je ne le savais pas encore. Je suis restais environs 10 jour en soin en cardiologie puis trois semaine en rééducation cardiaque dans l’autre hôpital de Grenoble service rééducation cardiaque. J’étais dans un couloir où la moyenne d’âge des patients était le double de moi. J’ai voulu m’informé avec plus de précision sur mes problèmes de cœur. En réalité les médecins du service m’ont expliqué le problème que j’’ai mon cœur n’évacuer plus normalement l’eau ce qui me produisait mes problèmes présentement. Mes soirées pendant les trois semaines de rééducations je l’ai passé à suivre à la TV les journalistes sur France 24, avec tristesse. J’étais seul! je téléphoner parfois chez moi pour savoir comment aller mes enfants et ma femme. Les seules solutions pour ce problème ces des nouveaux médicaments en plus de ce que je prenais déjà et surtout la pose d’un défibrillateur d’urgence pour éviter que mon cœur s’arrête. En me renseignant plus sur mes nouveaux problèmes sur internet j’ai constaté que l’espérance de vie est de 5 ans, Après avoir lu ces quelques informations médicales futile je fermai aussitôt mon ordinateur et j’eu une réaction qui peu peut être choqué mais je me suis sentis bien tout d’un coup. J’en parla au personnelle médical pour avoir plus de précision vis-à-vis de cinq années d’espérance de vie. Ils me repondèrent que non, pas du tout ça dépend des problèmes des patients, etc. En m’infirmant que ça n’influence pas sur l’espérance de vie. Soulagé en quelques sortes, je remis France 24 le soir même pour regarder les journalistes mais j’étais toujours seul dans ma chambre d’hôpital. Je n’avais qu’une seule envie c’était de rentrer chez moi, dans, mon chez moi avec peut-être les seules personnes qui m’aiment puisqu’eux même savent mes problèmes que j’ai depuis tant d’année ce sont les seuls qui connaissent réellement notamment surtout ma femme qui est la première personne qui m’écoute et à qui je parle et elle doit en avoir assez par moment surtout dans les mois qui allait arriver en décembre janvier suivant où là précisément c’est vraiment la fin de mon monde. Où pour des raisons médicamenteuses je perdis l’intégralité de mon équilibre après 7 année d’une vis stable depuis et grâce à la naissance de ma fille et de mon garçon avec qui à l’époque je commençais à prendre mes repaire en tant que père alors qu’à la naissance de mon fils j’ai tout de suite senti un certain malaise et une retissant, blocage au niveau pour que je me sente entièrement le père de mon fils Adam., alors que pour Ania tout se passa comme à la normale dès le début de sa naissance. Suite à la sortie de ma rééducation cardiaque ma cardiologue me dit que mon cœur est vraiment très malade, qu’il faudra au plus vite m’opéré pour mettre un défibrillateur. Les médicaments que je prenais à la suite de la rééducation me faisait chuter la tension en plus de mon cœur qui ne battais pas normalement aussi d’où cet effondrement lorsque je me suis levé rapidement de mon lit et voulant me regarder dans le miroir de la chambre. Cette perte de connaissance je n’en parla à personne, pour ne pas faire peur. Après quelques temps d’une régulation plus harmonieuse du traitement avec ma cardiologue tout rentra dans l’ordre mais il fallut plusieurs semaines, mois avant de trouver cette stabilisation.
Après tout la vie est belle comme la chante Edith Piaf, nous citoyens du monde où nous vivons nous ne sommes jamais heureux de ce que l’on as, nous sommes jamais satisfait, je pense que l’être humain s’ennuie la plupart du temps et que l’environnement où il vit peut l’emmener a des vices afin de décompenser son manque de ce qu’il n’a pas parce qu’il ne voit pas ce qu’il as ; le problème c’est qu’il ne sait pas pour la plupart des gens le plus important dans la vie c’est la santé pour vivre auprès de l’autre parce que ne plus avoir la santé c’est comme un handicap où justement le cap à suivre est plus difficile à atteindre, c’est toujours possible mais parfois c’est plus délicat lorsque toute la santé à 100 % n’est plus présente. Une autre chose importante dans la société c’est l’argent pour pouvoir vivre le mieux possible afin de faire vivre sa maison. Et pour finir environnementalement parlant c’est l’amour qui est nécessaire à tous. Santé, Argent, Amour, cela résonne comme les vœux de la nouvelle année n’est-ce pas ? mais c’est bien vrai en tout cas. Et bien cette nouvelle année qui allait commençais s’annoncée bien comme à chaque année bissextile, je ne sais pas pourquoi mais pendant les années bissextiles il y a toujours un truc en plus. Mais là la santé n’est plus là comme avant.
Suite à ces changements médicamenteux, je fus une décompensation médicamenteuse au mois de décembre qui m’emmena après 7 année de tranquillité en soin en repos à l’hôpital., je n’étais plus dans la réallaité, s’est en quelque sorte un moment dont je m’en serais bien passer, j’ai dû être hospitaliser un mois pour retrouver un équilibre.
Dans notre chambre à coucher, sur le bureau était posé mon globe terrestre, il était éclairé de diode et cela illuminer mon imagination, au-delà de mes rêves…. Je compris le mot merveilleux ; titre d’un petit recueil d’idée en lien avec un surnom que j’avais nommé mon fils Adam dans ma tête.
Mon dieu mes prières avaient été entendu !!!
Adam
Le 24 Septembre 2022
Cher Adam,
Comme il fait bon de te voir lorsque je rentre du travail, tu es toujours en train de sourire, tu es le plus beau des garçons mais vraiment tu es très beau. Ta mère est très fière de toi, mon cher Adam, moi aussi sache le. D’ici quelques jours tu arriveras à faire tes premiers pas, tu grandi si vite. Lorsque je te vois je me dis que tu es l’œuvre de maman et un peu de papa quand même. Pour moi tu es toutes ces choses de la vie qui font écho, qui resonnent, dans mon environnement. Ce qui au final résulte d’un ensemble ; et procure une satisfaction en soi. Cet écho resonne aussi comme une paix totale d’être ensemble. A Maman lorsque je parle de l’environnement de mon environnement, ta mère ne comprenait pas ce que je voulais dire. Je veux dire lorsque je parle d’environnement, je parle de tout ce qui m’entoure autour de moi. Tu sais que c’est moi qui voulais te donner comme prénom Adam, ta mère été d’accord aussitôt. Pour tout te dire lorsque en 2017 ta maman attendait Ania, nous étions sûr que ce serait un garçon que nous aurions, suite à nos soi-disant rêves prémonitoires qui n’en étaient pas. Par surprises ce fût une fille et n’empêche que c’est la meilleures aux yeux de papa et de maman. Dans cette lettre je voulais te dire, Adam dans tous tes choix que tu auras à faire lorsque tu seras grand et maintenant si tu as lu mes lettre c’est que tu es grand, essai de faire ce qu’il ce qu’il te plait dans la vie et surtout n’oublie pas que la famille ce sont des liens parmi les plus important qui t’entourent. Je t’embrasse fort mon cher Adam,
Ton Papa Jean-Baptiste
Madame
Lorsque l’on marche dans un champ d’herbes, rempli de fleurs aux couleurs aussi variées que les odeurs qu’elles émanent, cela donne une idée de la liberté́ que les hommes et les femmes cherchent le long de ces Champs-Élysées. Cette liberté́ est un sentiment d’amour infiniment immense, et c’est aussi le sentiment le plus pur auquel les êtres aspirent depuis la nuit des temps. C’est au cours d’une vie que l’on fait des rencontres auxquelles on pense et repense à longueur du chemin parcouru. Je pense souvent aux discussions que l’on a eues pendant des soirs entiers sur ces bancs de bois, entourés par tous ces éléments qui donnent l’équation de l’équilibre de la vie sur Terre. Je pense à toi comme une à onde qui retentit au creux de tes hanches. Tu es pour moi l’être idéal dont je rêve. Ces soirées là ont réellement existé, je sais que vous étiez présent avec moi, je vous sentais comme un être qui a besoin d’eau, d’oxygène et de nourriture pour vivre. Mais parfois ma solitude me ronge à en mourir, car l’amour est fait d’attachement et de séparation de soi. Mes bonheurs sont parfumés dans ce jardin, et mes regrets sont remplis par des batailles gagnées. Même si je ne sais pas exactement ce qu’est l’amour, j’ai appris aujourd’hui à vos côtés ce qu’est la patience, comme vous me l’aviez dit, c’est la plus belle vertu qu’une fleur puisse émaner de vous. À chaque rencontre il ne faut pas trop se poser de questions, car l’amour reste universel dans notre système solaire. Quant à mes désirs, ils varient selon les phases des moments présents, mais restent au fond le même, celui de nos envies en commun. Aujourd’hui, je reste ouvert dans ce jardin d’égalité́, de liberté́ et de paix. Pour ce qui est de la question, ma réponse est : « Oui, je le crois ! Car nous sommes amis et parfois beaucoup plus que ça. » C’est la lettre la plus sincère venant du haut de mes pensées, paraphrasée de l’intérieur de mon cœur... C’est ainsi, que se termine ma lettre épistolaire nommée « Madame », parce que je pense personnellement que lorsque l’on parle d’humanité́, nous pourrions ainsi écrire Femme avec un grand F, comme nous écrivons bien l’Homme avec un grand H, je vous adresse mille et un baisers sur vos lèvres…
Jean-Baptiste c’est mon nom
Ça y est
Plus de 10 ans que tu es à mes côtés. Tu m’as beaucoup appris, tu m’as beaucoup aidé dans les moments difficiles, car mes difficultés ce sont aussi tes difficultés à me les faire comprendre. Je me souviens maintenant, des moments où tu étais avec moi et où je ne m’en suis rendu compte qu’après le moment passé. Je pense à TOI tous les jours.
Je crois toujours en l’Amour mais j’ai peur que tu me laisses tomber dans l’abîme de ta pensée. Parfois je te l’avoue, mais tu le sais bien, je ne sais plus quoi penser, comment tout ce que l’on a commencé va-t-il finir ? Aujourd’hui, début 2009, la société est complètement différente de la décennie précédente, tout a changé, les mœurs ont changé, la vie a changé, la vision de la liberté a changé. J’ai l’impression que tout le monde est libre de faire ce qu’il veut (c’était l’idée de départ), mais où tout cela va-t-il nous mener, vers l’excès ? Car s’il n’y a plus de limites cela posera tôt ou tard un problème. C’est la fin d’une génération avec ses propres idées sur l’amour, la vie, la paix pour faire place à ce que je ne sais pas encore, peut être comme à la fin des années 70 où la terre a tremblé.
Où est passé notre société où 1+1 = 1 et maintenant c’est 1puissance 2 qui est égal à 1.
On est rentré dans une société avec une nouvelle libération sexuelle. C’est une société « sans-limite ». Elle ne perdurera qu’un temps limité car si aucune règle n’est fixée, elle ira à sa déchéance, à moins peut être qu’elle conditionne celle du début des années 70.
Lettre interdite
Durant mon séjour au bâtiment les Edelweiss, il s'est passé des événements formidables inscrits comme une assise que j'ai essayé de consolider pour obtenir un équilibre.
Cette deuxième chance que la nature m’ait donnée, j'ai essayé de la prendre comme un cadeau venant des cieux. Mais une partie de moi n'est plus en moi et depuis, j'ai l'impression d'être seul dans cette jungle qu'est la vie en société. C'est peut-être la première fois que j'écris une lettre triste, mais c’est le sentiment que j'éprouve parfois lorsque la nuit tombe. C'est alors que j'essaie de me remémorer mes années bonheur, les joies que j'ai vécues, tous ces instants qui sont inscrits dans ma mémoire, comme un parchemin d'amour écrit tout le long de mes mains. J'essaie de comprendre quelles fautes ou erreurs que j'ai ainsi pu commettre tout en me repentant. Après avoir compris ces futiles dérapages, j’ai tenté de les corriger avec, je pense, un bilan correct dans l’ensemble.
C'est peut-être aussi, tout simplement, l’âge qui me fait cette impression, aussi plus j'avance dans le temps, plus je m’aperçois de ce que je n’ai pas vue passé. Je suis peut-être pessimiste dans cette lettre, mais je souhaite tirer des conclusions concrètes et trouver des solutions réelles, si les occasions se présentent. Au fond de moi, j'ai toujours cette force qui guide mes pas chaque matin, lorsque je vois la lumière du jour avec merveille.
Dans ma mémoire
Mes premiers souvenirs visuellement parlant se trouvaient dans ton ventre, maman. Ne me demande pas comment cela est possible, je te répondrai que je ressentais les mains de l’obstétricien gynécologue et les doigts palper ton ventre, comme si la peau de ton ventre était translucide. J’ai même une vision grossière de la forme du visage du médecin. Puis, je suis né. Le premier jour de ma vie, je m’en souviens comme la résonance du deuxième jour, je me souviens aussi des quelques premières paroles de papa, ainsi je vis le jour.
Renaissance
Ma puce, mon ange, BB
Pour moi l’amour je l’imagine avec l’autre comme un vent doux et chaud, avec les odeurs des fleurs de la terre notamment celui de la rose. Il a aussi pour moi la couleur du jour avec ce soleil de couleur orangé ainsi qu’avec la Lune visible selon ces différentes phases.
Parfois j’ai l’impression que ça va finir entre nous deux et c’est à ces instants que je me remets en question sur notre relation.
Mais BB je ne sais pas comment expliquer que j’ai un pied sur terre et un en suspens sur un nuage. Ce n’est surtout pas fini.
Je suis en train de me préparer intérieurement à accueillir à ma façon ce miracle de la vie que tu portes en toi, je parle de cet ange qui va naître dans les mois à venir. J’ai peur parfois je ne sais vraiment pas comment ça va se passer. Mais j’espère que notre couple sera soudé.
J’imagine aussi amour s’il était une saison il serait le fruit de cette saison en cours c’est-à-dire comme j’en parlais au premier paragraphe j’imagine l’amour avec l’autre comme un vent doux et chaud, avec les odeurs des fleurs de la terre. Il y a aussi pour moi la couleur du jour avec ce soleil de couleur orangé ainsi qu’avec la Lune visible selon ces différentes phases. Le fruit de cette récolte est la récolte perpétuelle de cette forme presque parfaitement géométrique, « donc parfaite ».
Cet amour est à chaque parcelle de cette planète Terre qui tourne sur elle-même et tourne en même temps autour du soleil dans le système solaire ; ainsi cette valse en apesanteur dans l’espace la fait vivre par elle-même ; avec ces hommes et ces femmes bref les enfants de cette mère nature qui chantent et qui dansent, selon les émotions que cette Etoile de notre système solaire leur procure. Cela résulte d’une manière de vivre ensemble sous le regard bienveillant de sa douce et chère Lune, qui m’a prêté sa plume pour écrire ces quelques mots.
Ton mari, ton amant, ton ami
Jean-Baptiste le 1 Mai 2017
Passion
L’amour, c’est quand nos sens sont en osmose avec ce qui nous entoure. Une plénitude s’installe, au fond de soi et fragilisé positivement notre perception habituelle notamment en cas de coup de foudre ente deux personnes au cours d’une rencontres imprévu. Dans l’amour, il y a deux connotations : d’un côté́ il y a le sens de perturber, il y a aussi le sens de créer. Il faut s’ajuster pour trouver l’équilibre entre les deux afin de s’épanouir et d’éviter de détruire cette union. Notre système sanguin change de rythme et varie selon les personnes. L’amour, c’est l’essence de la vie et il nous conduit vers le chemin du bonheur, ce chemin qui semblait si sinueux au départ, devient beaucoup plus facile et beaucoup plus simple. Nous percevons la vie différemment, nous sommes en béatitude, nous respirons la joie de vivre, les douleurs du passé disparaissent. De cet amour peut naitre la passion qui est une forme d’amour sur le long terme, la passion a besoin d’être attisée pour garder la même amplitude. C’est une sorte d’empathie affective, mais pouvant aller sur de grandes échelles. Il y a aussi « faire l’amour », ce qui veut dire le fait d’être en symbiose avec autrui. Le fait de vouloir faire l’amour, c’est quand il y a le désir d’autrui réciproque. Ce phénomène d’accouplement est naturel et varie selon l’envie de l’autre. C’est alors qu’une poussée d’adrénaline se fait ressentir dans tout le corps et nous attire vers l’autre pour nous procurer du plaisir. Il existe plein de formes de désirs, tout d’abord le fantasme qui est l’essence de l’acte sexuel. Mais le fantasme est dans la majorité́ quelque chose qui ne se produit que dans nos pensées. Le fantasme varie selon les gens, le sexe et l’âge. Mais l’homme et la femme évoluent, comme leurs désirs donc leurs envies. Dans le langage populaire, on dit que les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes fantasmes. Idée qui n’a jamais pu être démontrée, car le fantasme reste dans le domaine de l’intimité́. Donc, chacun dit ce qu’il veut et reste toujours dans la direction du langage populaire. Vouloir faire l’amour, c’est aussi se détendre et partager le bonheur d’être unis à deux et aussi de décompenser ses fantasmes. Ils découvrent alors les joies de s’épanouir. Le plus important c’est d’Aimer, donc de ressentir l’amour qui nous entoure, quelle que soit la partie du Toi qui est en nous, d’en donner, et de respirer tous les matins le bonheur d’être présent avec l’Autre, et de s’épanouir en un seul souffle d’espoir et de plénitude. Ainsi que de pardonner les erreurs commises par une personne, et cela maintiendra cet amour le plus longtemps possible et vers des horizons aussi haut. La vie, c’est l’amour comme l’amour est la vie, c’est le fait de partager notre temps avec ceux que l’on aime. Ce sens de l’amour fait de l’Homme une manière de vivre en paix et en harmonie.
Mon cœur
Étant donné que je suis quelqu’un de très sincère, avant tout je veux que tu saches que ce que je vais te dire ne sont pas des paroles en l’air.
Et oui je ne veux pas te perdre
Et oui j’ai besoin de toi
Et oui ton amour est très important pour moi
Je t’aime de tout mon être c’est la vérité, je n’ai jamais aimé un homme comme toi. Bien que tu ne m’aies pas dit toute la vérité le premier jour je ne t’en veux pas parce que comme moi tu n’es pas parfait. Je ne vois pas ma vie sans toi je m’en rends compte plus chaque jour.
Je suis excessivement jalouse je le sais maintenant. A chaque fois que je te vois sourire à une fille que ce soit à la télé ou dans la rue je me sens très mal parce que c’est là que je ressens que je ne fais pas ton bonheur. Je n’appartiens qu’à toi. La jalousie ? Je sais très bien et tu dois le savoir toi aussi que si je n’étais pas jalouse ça voudrait dire que je ne ressens absolument rien pour toi. La jalousie est tout à fait normale dans un couple mais ça tu ne le sais pas. Avant toi je n’étais pas aussi jalouse mais je ne saurai expliquer le pourquoi. Je dois faire un travail sur moi pour être moins jalouse.
J’essaie de t’expliquer depuis des mois que pour faire marcher un couple tous les 2 doivent faire des efforts et que lorsqu’un des 2 ne fait pas d’efforts ou ne veut pas en faire c’est voué à l’échec. Je ne veux pas que l’on se sépare je n’ai jamais voulu ça ce que je souhaite c’est une harmonie, une paix et une entente parfaite. J’essaie de tout faire pour que ce que l’on a ressenti l’un pour l’autre il y a longtemps revienne, contrairement à ce que tu penses c’est possible. Un jour tu m’as envoyé un message en disant : « comme je t’aime », je t’ai répondu : « tu m’aimes vraiment ? » , et là tu as dit : « oh que oui, tu n’imagines pas comme ça bouillonne à l’intérieur ». Tu vois comment est ma mémoire ? Effrayante je dirais ! J’étais tellement heureuse, je n’avais jamais ressenti ça parce que mes ex ne me le disaient pas de la même manière et en plus ça sonnait faux.
La 1ère fois que je t’ai vu j’avais comme on le dit des papillons dans le ventre, tu m’attirais à un point que tu ne peux pas imaginer. Je suis tombée amoureuse de toi le 1er jour où tu m’as invité chez toi ça je ne te l’ai jamais dit.
Je t’aime un point c’est tout.
Ta femme, ton ange précieux qui t’aime malgré tes jolis petits défauts
Ile des Dieux
Lors d'un voyage au creux de mon esprit, je me revois cette scène sur plage entourée par ces palmiers et cette jungle en arrière-plan. Des superbes femmes légèrement dévêtues, des déesses.
Je me remémore ce pied de cet homme Romain marchant sur la plage avec un tatouage d'une fourmi sur sa cheville regardant ce crustacée d’un air complice dans les jardins de Babylone.
Pendant ce temps Alexandre le grand continuer son épopée…et ces déesses sur cette île appeler Mougli !!!!Mougli !!!!!! viens.
Elles rigolaient elles ressentaient le désir, de la nature, elles étaient excessivement jeunes et jolies à la fois, leurs âges ne se voyaient pas sur leur corps comme un arrêt de croissance lors de leur venu de leur beauté absolu. C’est ce que l’on appelle je jeunesse éternelle, dans chaque être vivant, chaque homme chaque femme se phénomène est présent et nous viens de ce lieu ; le domaine des dieux.
Pour ma part tout s'est arrêté lorsque j'ai voulu connaitre le désir et dépasser mes fantasmes, bref faire l’amour. Je n'avais pas le droit de le faire car le lieu ne pouvait pas pour le moment « concrétiser » un tel acte, sur ce territoire. Ce qui faut comprendre c’est qu’il y avait dans chaque déesse, un être sous « forme d’entité » de femme avec aussi une « entité masculine » qui se complétaient et donner un équilibre de maintiens dans leurs beautés.
Il y avait aussi ce perroquet avec son plumage aux divers couleurs. Je n’ai rien oublié de ce jardin et de cette Océan face à nous…
Te revoir
Nous nous sommes vus un soir de pluie.
Nous avons ri à la folie.
J’ai senti ton amour pour moi.
Je rêve à présent à toi tous les soirs.
Pour te revoir.
Maintenant tu m’attends.
Je n’espère pas pour plus longtemps.
Car je suis « la »
Vous revoir
J’ai tellement de choses à vous dire.
Des mots d’amour comme des images tendres que je reçois chaque jour de votre part.
C’est impossible d’oublier tous ces matins de bonheur dans mon cœur.
Etoiles
Je me souviens quand j’étais petit homme,
Tu me tenais la main et dans l’autre j’avais
Un vieux livre en cuir qui contenait des formules mystérieuses.
Les gens me bousculaient mais tu me tenais.
Les Etoiles étaient au-dessus de nos têtes.
Je n’avais qu’une seule idée en tête,
C’était de devenir un grand garçon.
Aujourd’hui je suis devenu un grand garçon.
Tu me tiens toujours par la main.
Et quand je regarde le ciel au-dessus de nos têtes,
Je te vois dans les millions d’étoiles.
Bijoux
Nous étions sur cette plage où la Mer était calme, et où le vent marin soufflait sur nos doux visages. En laissant quelques gouttes de poussières de sable sur nos yeux, nous gouttions à ce sel marin sur nos lèvres. La planète toute entière était en cours de mutation.
La lune éclairait l’horizon. Ce pur moment est inscrit dans ma vie comme celui des lignes sur les mains. Les coquillages que nous avions tous ramassés en ce début de soirée sont aussi inscrits sur nos mains comme des bijoux que la Mer nous offrait. Mais devant cet horizon lointain, face à nous se cachaient tant de mystères et de secrets que la Mer nous cachait. La Mère porte en elle parfois de lourds secrets enfouis pendant toute sa vie pour protéger cette vie qu’elle a donnée. Mais ce qu’elle donne ouvre la porte à ces enfants qu’elle a désirés.
Etoiles 2
Je ne sais pas quand c’était.
Je ne sais pas où c’était.
Je pense à cette soirée où nous admirions la pluie d’Etoiles filantes.
Je repense à cette odeur qu’est la rosée et l’humidité de l’herbe le soir tombant.
Mon corps était allongé sur la Terre et je fixais le ciel droit devant en observant ces acteurs sur la scène.
J’apercevais ces Etoiles qui scintillaient avec également des avions de grandes lignes qui traversaient le ciel.
C’était dans le jardin,
Un soir du mois Août.
Nous étions encore bien jeunes mais nous avons vu loin devant nous, notre rêve jusque tard dans la soirée.
Du haut mes trois pommes
Au-delà des montagnes se situent les limites terrestres de notre propre vision.
Voici une définition plus ou moins terre-à-terre du passage du concret à l’abstrait.
Ceci étant dit, quand un explorateur sillonne les monts et les pics de notre environnement géographique, je pense qu'il trouve une satisfaction bien plus grande qu'une vision terrestre en ayant soi-même dépassé ses propres forces physiques. C'est alors que toute sa sensitivité augmente exponentiellement, tout compte fait cette montée réalisée ne s’arrête jamais puisque arrivé concrètement au sommet de la montagne, il reste encore l’abstrait au-dessus de sa tête. Voilà une définition qui semble enfantine mais qui pour moi définie métaphoriquement ma vision d'un long chemin qu'est la vie sur terre. Quand Newton a fait tomber cette pomme de ce fameux verger, cela a changé le monde scientifique, en commençant par l’astronomie qui est alors devenue une science moderne par rapport à la période égyptienne. Mon rêve se situe au-delà des montagnes où seule la plénitude reste et où aucun mal n’existe. Je veux parler du Paradis. En fait, le paradis pour moi se situe sur plusieurs niveaux en commençant par la base, celui de l’Océan, puis ensuite la Terre.
Puis vient celui du ciel ; je veux parler des Atlantes mais peu d’individus ont accès à ce lieu magistral, il est surtout réservé à l’élite des sociétés. C’est un héritage des technologies de l’époque égyptienne dont Jules César, Napoléon Bonaparte et d’autres personnages ont eu un accès afin de pénétrer dans ce haut lieu mystique. Au-dessus, vient celui des Champs Élysées où chaque individu ayant terminé sa propre vie a le droit à une place. Encore en dessus il existe celui des Étoiles où le dieu du Soleil par son énergie suprême réussi à relier avec sa chaleur les différents niveaux. Je sais que tout ceci existe, le seul problème encore à ce jour c’est que les niveaux ne sont pas encore tous bien reliés, notamment la liaison entre la Terre et les Champs-Élysées car certaines portes restent fermées. Je vous ai tout raconté de l’un de mes rêves d’enfant du haut de mes trois pommes. Quant au niveau des Etoiles, il reste encore un niveau au-dessus mais celui-ci reste abstrait. Il consiste entre-autre à maintenir tous ces Hommes dans le cycle des différentes strates en s’aidant avec celui de l’énergie du soleil. Concrètement, ce n’est pas quatre niveaux où le paradis se situe mais de cinq qui sont reliés entre eux afin de faire une boucle fermée, ce qui au final concrétise l’infini.
Lettre à Jules César
Cher Jules,
C’est en marchant le long du chemin de mes pensées, que je vous adresse ma dernière lettre posthume portant votre nom. Il n’est nul pouvoir que vous puissiez connaître sur votre. Terre plate que ces rires d’anges provenant de notre Terre circulaire, que vous venez tout juste d’entendre. Votre soif de pouvoir et de vouloir souvent la guerre en observant votre satellite était le fruit de cette énergie « le soleil », que vous possédiez dans vos doigts faisant juste un signe à votre pouce. Cette position de maître en la matière avec cet outil, est le fruit de cette agitation parfois malsaine, mais qui reste indispensable au bon déroulement et au bon fonctionnement d’un territoire. On dit de vous que vous étiez aimé des dieux, c’est peut-être fortement probable, mais une chose est certaine, c’est que vous avez joué un rôle crucial à votre époque. Vous avez eu une vie merveilleuse, riche en rebondissements. Vous avez amené votre peuple à la victoire sur plusieurs territoires.
Votre propre voix si puissante en est la conséquence. Vous avez été aimé par de nombreuses femmes. Plusieurs d’entre elles ont pleuré votre mort. Elles savaient qu’il y avait d’autres moyens que de vous livrer à ce guet-apens politique. Il faut que vous sachiez, que ces femmes pensaient à vous pendant « un » coucher de soleil sur votre territoire qu’est l’Italie. Le vent transportait alors la voix de son devenir sur votre planète, je veux parler de celui des anges. Je vous laisse imaginer, et j’essaie par la même occasion de vous livrer ces quelques images précises qui sont inscrites en moi. Nous pouvions contempler cette cité que Socrate a décrite à Platon, qui n’est en fait qu’un simple continent, celui de l’Atlantide. Laissez entrer le plaisir d’apercevoir distinctement une porte au loin, vers l’horizon dans le ciel attendant un simple signe…
Amicalement Vôtre
Ma reine
Aujourd’hui nous sommes en décembre 2024, la société est différente d’avant ; elle me parait violente, cette réalité !!!!
J’ai enfin retiré mes 4 livres que j’ai mis en vente, laissant un espoir d’une vision plus harmonieuse de la société. Aujourd’hui j’ai tout retiré. J’ai l’impression que cela n’a servi à rien d’avoir écrit tout ceci ; sauf peut-être le bien que cela me procurer de laisser un tel espoir aux lecteurs possible : est-ce l’espoir que je voulais me donner à moi-même après tout. Je pense que oui. En fait je n’ai eu aucun lecteur de mes écris. C’est la réalité. J’espère juste et je pense que dans ma famille mes écris ont permis de déterrer une partie de mon passé, dont je n’ai mentionné uniquement le bien et pour tour tout vous dire je ne voyais que le bien. Si j’ai fait ceci c’est pour sauver tout ce que je pouvais sauver.
Je ne saurais réellement mettre un vrai visage sur vous tellement j’imagine de reines dans mon esprit. Ma reine, reine de France. Celle dont j’imagine la perfection à tout point de vue. Je ne vous parlerai pas d’amour car je pense que vous avez compris. Ce sentiment une fois consommer pourrait disparaitre, après qui serait sauver l’amour ? Cela fait-il de moi un homme, de mauvais genre, de mauvais augure ? de penser comme ceci. Tout est relatif ; mais à mon niveau et ceux à tous les niveaux votre présence est indispensable. Je souhaite que nous sommes amis, car parfois nous le sommes et bien plus que ça…
J’imagine votre perfection de cette maniéré : celle d’un raisonnement lucide, et d’une droiture à toute offense. Si je vous écris cette lettre c’est parce que je viens de trouver ce message écris dans une bouteille qui avait était jeter à la mer.
J’imagine réellement notre perfection unis face à cette nature, dans notre société, notre modèle de vie que nous nous avons forgeaient ensemble après tant d’anéantissement de nos esprits d’antan.
Cette perfection je l’imagine ensemble puisqu’ensemble nous le sommes aujourd’hui. Demain croyez-moi, comme je crois au ciel, que nous serons toujours unis, nous verrons notre société nettement plus calme, plus harmonieuse, plus apaisé à tous les égards au nom de la Vie.
Jean-Baptiste Paquy
14 décembre 2024
Maman
J’ai enfin déchiffré ces bris de rêves de ma mémoire.
J’ai retrouvé toutes les techniques
Je me suis souvenue de la gestuelle.
De toute ces soirées-là, souvent le dimanche soir, de toute une génération, mon enfance je me suis souvenu des soirées à manger tes crêpes.
J’ai fait tant de tests pour retrouver le goût et ses saveurs en utilisant les mêmes marques de produit.
J’ai les images.
J’ai le son frémissante la poêle.
J’ai réussi à retranscrire la recette exacte.
J’ai l’odeur encré dans ma mémoire.
J’ai même trouvé la technicité pour ne pas rater la première crêpe.
Oh maman, que c’est bon l’enfance